La dette de la France dans le classement des 25 puissances économiques les plus endettées
Un classement choc

La dette publique mondiale atteint des sommets inquiétants. Elle frôle désormais les 100 000 milliards de dollars, soit environ 85 400 milliards d’euros. Un record historique. Entre l’explosion des budgets militaires, la hausse des droits de douane et des taux d’intérêt toujours élevés, les gouvernements empruntent à un rythme effréné.
Le FMI (Fonds monétaire international) tire la sonnette d’alarme : à ce rythme, la dette publique globale devrait représenter 100 % du PIB mondial d’ici à 2030, contre 95,1 % cette année. Un seuil que de nombreuses économies ont déjà largement dépassé.
Dans un contexte d’endettement généralisé des grandes puissances, voici les ratios dette/PIB des 25 principales économies mondiales, classées de la moins endettée à la plus endettée. Tous les montants sont indiqués en dollars US, suivis de la conversion en euros.
Adaptation française par Laëtitia Lord
Dette publique : ce que révèle vraiment le ratio dette/PIB

Qu’est-ce que le ratio dette/PIB et pourquoi est-il si surveillé ? Cet indicateur compare la dette publique d’un pays à la valeur de sa production économique annuelle (le PIB). Il permet d’évaluer dans quelle mesure un État est en mesure d’honorer ses engagements financiers. Plus le ratio est élevé, plus le poids de la dette peut devenir difficile à supporter.
Mais attention, ce seuil n’est pas universel. Certaines économies avancées peuvent fonctionner avec un ratio très élevé, là où d’autres sombreraient rapidement.
Quant à savoir à partir de quel point l’endettement nuit à la croissance, il n’existe pas de chiffre précis. Les experts estiment généralement qu’un ratio compris entre 40 % et 100 % peut commencer à poser problème, avec une tolérance moindre pour les économies émergentes.
Russie : 21,4 % du PIB

La Russie affiche un ratio dette/PIB très modeste comparé aux standards mondiaux, même si ce chiffre est en hausse constante. Après l’annexion de la Crimée en 2014, le Kremlin a mis en place une stratégie de rigueur budgétaire et monétaire pour protéger l’économie des sanctions tout en limitant l’endettement extérieur. Soutenue par d’abondantes recettes tirées du pétrole et du gaz, cette politique a permis de financer l’invasion de l’Ukraine en 2022.
Mais aujourd’hui, la situation économique russe se dégrade fortement. Les revenus fossiles s’effondrent tandis que les dépenses militaires restent massives, ce qui pousse le régime de Vladimir Poutine à emprunter agressivement. Privée d’accès aux marchés internationaux, la Russie dépend désormais presque exclusivement du financement intérieur, un levier de plus en plus sous pression.
Taïwan : 24 % du PIB

Modèle de gestion rigoureuse, Taïwan a réduit son ratio dette/PIB de 39,2 % en 2012 à 24 % aujourd’hui, un niveau jugé exemplaire. Le gouvernement met en avant sa discipline budgétaire, inscrite dans la loi avec un plafond fixé à 40,6 %.
Mais cette prudence a un revers, selon certains analystes, puisqu’elle freinerait des investissements militaires jugés cruciaux, dans un contexte de menace constante de Pékin.
À court terme, la vigueur du dollar taïwanais pourrait encore faire baisser le ratio dette/PIB, en diminuant la valeur des emprunts libellés en devises étrangères. Un revers pourrait néanmoins se profiler si la vigueur de la devise pénalise les exportations et freine la croissance.
Turquie : 26,7 % du PIB

À première vue, le ratio dette/PIB de la Turquie reste faible comparé aux standards mondiaux. Un chiffre qui peut sembler rassurant, mais la réalité est plus nuancée. Une large part de cette dette est libellée en devises étrangères, ce qui expose le pays aux secousses du marché des changes et à une inflation persistante, deux faiblesses structurelles de l’économie turque.
Autre point de vigilance : le secteur privé supporte lui aussi une dette importante en devises étrangères, ce qui accentue la vulnérabilité financière du pays. Seule note plus positive, l’endettement des ménages reste contenu, avec un ratio de 11,3 % du PIB.
Suède : 33,7 % du PIB

Après avoir traversé une grave crise financière dans les années 1990, la Suède a opéré un redressement spectaculaire en mettant en place une politique de rigueur sans précédent. Réduction de la protection sociale, hausses d’impôts, privatisations… Les gouvernements successifs n’ont pas hésité à prendre des mesures radicales. Même l’épargne retraite nationale a été mobilisée pour rembourser la dette.
Résultat : le ratio dette/PIB, qui dépassait les 80 %, a été ramené à environ un tiers du PIB aujourd’hui. Une telle solidité budgétaire a conduit le FMI à suggérer à Stockholm d’assouplir ses règles fiscales afin de relancer l’investissement public.
Arabie saoudite : 34,8 % du PIB

Le ratio dette/PIB de l’Arabie saoudite reste faible selon les standards internationaux. Pourtant, en 2014, porté par des recettes pétrolières exceptionnelles, il ne s’élevait qu’à 1,5 %. Depuis, la donne a changé. La baisse des prix du pétrole et les dépenses massives engagées pour financer le vaste programme de transformation économique « Vision 2030 » ont fait bondir le recours à l’emprunt.
En 2023, le royaume est même devenu le premier émetteur de dette des marchés émergents. Rien d’inquiétant pour autant puisque la solidité des finances publiques saoudiennes lui laisse une large marge de manœuvre budgétaire.
Suisse : 36,9 % du PIB

Connue pour sa rigueur budgétaire et son refus des déficits, la Suisse a instauré en 2003 un frein à l’endettement qui a porté ses fruits : le ratio dette/PIB a chuté de 56,9 % à 36,9 %.
Mais cette politique de maîtrise des dépenses publiques a eu un effet collatéral. Une plus grande partie du fardeau financier s’est déplacée vers les ménages. Ajoutée à la flambée des prix de l’immobilier, cette dynamique a fait exploser leur endettement, qui dépasse désormais 128 % du PIB, le taux le plus élevé au monde.
Indonésie : 41 % du PIB

En Indonésie, la loi impose que le ratio dette/PIB ne dépasse pas 60 %. Bien qu’en hausse par rapport aux 30,6 % enregistrés avant la pandémie, il reste aujourd’hui autour de 40 %, un seuil longtemps considéré comme optimal pour une économie émergente, même si cette idée fait désormais débat.
Quoi qu’il en soit, la nouvelle administration Subianto juge ce niveau insuffisamment exploité. Elle a donc lancé un vaste plan de dépenses publiques, financé en grande partie par des emprunts internationaux.
Pays-Bas : 43,3 % du PIB

Pour les pays développés, un ratio dette/PIB de 60 % est généralement considéré comme un seuil de référence en matière de stabilité budgétaire. Ce chiffre – tout comme la limite de 40 % pour les économies émergentes – a certes été contesté ces dernières années, mais il reste la norme dans l’Union européenne, où 60 % constitue une limite légale. En pratique, de nombreux États membres la dépassent largement. La moyenne européenne atteint 83,6 %.
À l’image de la Suède, les Pays-Bas font figure d’exception. Leur ratio reste nettement inférieur à la barre des 60 %, proche de son niveau le plus bas depuis près de 30 ans. Ce résultat s’explique par la volonté affirmée des gouvernements néerlandais successifs de maintenir des excédents budgétaires et de réduire la dette publique.
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Australie : 50,9 % du PIB

Le ratio dette/PIB de l’Australie reste relativement bas, mais il a explosé depuis la fin des années 2000, où il n’était que d’environ 10 %. Selon les données de l’OCDE rapportées par The Australian, il s’agit de la plus forte augmentation enregistrée parmi les pays développés au cours des deux dernières décennies.
Cette progression rapide alimente des inquiétudes quant à la viabilité de la dette et pousse le gouvernement à envisager des coupes dans les dépenses publiques afin de ne pas faire peser l’addition sur les générations futures.
Autre source d’alerte : la dette des ménages, qui atteint 112 % du PIB, soit le deuxième ratio le plus élevé au monde.
Corée du Sud : 54,5 % du PIB

Le ratio dette/PIB de la Corée du Sud a connu une hausse spectaculaire ces vingt dernières années puisqu’elle a plus que doublé depuis 2005. Si la dette publique reste relativement maîtrisée, la situation est tout autre du côté du secteur privé : les ménages comme les entreprises affichent un endettement particulièrement élevé.
Au total, la dette sud-coréenne représente 2,5 fois le PIB national, l’un des ratios les plus élevés au monde. Un niveau préoccupant, d’autant plus que le vieillissement accéléré de la population pourrait, à terme, compromettre la capacité du pays à honorer ses engagements financiers.
Mexique : 60,7 % du PIB

Le ratio dette/PIB du Mexique a fortement augmenté au cours des vingt dernières années. Élue en 2024, la présidente Claudia Sheinbaum et son gouvernement Morena ont hérité d’un important déficit budgétaire, laissé par l’administration précédente, qui avait misé sur de vastes projets d’infrastructure.
Malgré un contexte difficile, notamment en raison des tensions commerciales avec les États-Unis sous l’ère Trump, la nouvelle équipe au pouvoir affiche sa volonté de reprendre le contrôle des finances publiques. Le gouvernement a ainsi promis de réduire significativement le déficit dès l’année prochaine.
Pologne : 60,7 % du PIB

En 2024, portée par une hausse accélérée des dépenses d’infrastructure et de défense dans un contexte de menace croissante venue de Russie, la dette publique de la Pologne a atteint le niveau record de 2 000 milliards de zlotys (environ 460 milliards d’euros).
Le gouvernement est désormais soumis à une forte pression pour resserrer les dépenses et augmenter les recettes fiscales, alors que le déficit s’est creusé et que le ratio dette/PIB a franchi le seuil des 60 % fixé par l’Union européenne et par la constitution polonaise elle-même.
Allemagne : 65,4 % du PIB

Les dépenses publiques repartent à la hausse en Allemagne, entraînant dans leur sillage une progression du ratio dette/PIB. En mars, le Bundestag a donné son feu vert à une hausse massive des investissements dans les infrastructures et la défense afin de moderniser le pays et de répondre à l’agressivité croissante de la Russie.
Ce tournant marque une rupture avec la tradition pacifiste et la discipline budgétaire qui caractérisaient jusque-là la politique allemande, une décision qui a d’ailleurs suscité des manifestations.
Le gouvernement espère toutefois que ces investissements généreront des retombées économiques suffisantes pour limiter l’impact à long terme sur l’endettement. Le ratio dette/PIB ne devrait donc pas connaître de flambée majeure dans les années à venir.
Argentine : 73,1 % du PIB

Longtemps considérée comme un cas désespéré sur le plan financier, l’Argentine a engagé des réformes économiques radicales depuis l’élection du président libertarien Javier Milei en 2023. Le ratio dette/PIB a ainsi chuté de 155,4 % à 73,1 %, mais ce redressement brutal s’est accompagné d’un lourd coût social.
Malgré ses promesses de réduire le recours à l’emprunt, le président Milei a récemment accepté un nouveau plan de sauvetage du FMI de 20 milliards de dollars (environ 18 milliards d’euros), ce qui vient alourdir encore davantage la dette du pays envers l’organisation, déjà équivalente à 5 % de son PIB.
Cette décision devrait faire remonter le ratio dette/PIB à court terme, malgré les efforts engagés pour assainir les finances publiques.
Inde : 80,4 % du PIB

Portée par une croissance économique soutenue et des politiques budgétaires prudentes, l’Inde est parvenue à réduire progressivement son ratio dette/PIB, après un pic de 88,4 % atteint en 2020 au plus fort de la pandémie. Le pays est désormais en bonne voie pour retrouver son niveau d’avant-crise, autour de 75 %.
En février, le gouvernement a présenté une feuille de route ambitieuse, qui vise à ramener la dette fédérale de 57,1 % à 50 % du PIB d’ici 2031. Il réaffirme ainsi son engagement en faveur de la responsabilité budgétaire.
Brésil : 92% du PIB

En 2023, le ratio dette/PIB du Brésil a rompu avec la tendance à la baisse amorcée après la pandémie en repartant à la hausse. En cause, les dépenses sociales ambitieuses engagées par le président Lula, qui ont fortement alourdi les finances publiques.
Combinée à des taux d’intérêt durablement élevés, cette trajectoire rend la dette de plus en plus difficile à soutenir, au point que certains experts redoutent une crise de la dette à moyen terme.
Le Brésil consacre plus de 8 % de son PIB au paiement des intérêts de sa dette publique, plus que tout autre pays suivi par le FMI.
Chine : 96,3 % du PIB

L’économie chinoise traverse une période de fort ralentissement et les autorités misent sur l’endettement pour en sortir. Pékin prévoit ainsi de faire passer la dette à long terme de 370 milliards de dollars à 2,1 billions de dollars (environ 1 930 milliards d’euros), dans l’espoir de stimuler la croissance et, par ricochet, de réduire la dette publique à terme.
Mais cette stratégie est jugée très risquée par de nombreux analystes, d’autant qu’elle a déjà fait bondir le ratio dette/PIB à 96,3 %, contre 88,3 % l’an dernier. Un contraste frappant avec les 25,9 % enregistrés en 2005, qui souligne l’ampleur du virage pris par la deuxième économie mondiale.
Espagne : 100,6 % du PIB

L’an dernier, les emprunts et les dépenses publiques ont fortement augmenté en Espagne, en grande partie à cause des inondations dévastatrices qui ont frappé la région de Valence en octobre. Pourtant, malgré cette hausse des dépenses, le ratio dette/PIB a poursuivi sa baisse.
Il s’établit désormais à 100,6 %, bien en dessous du pic pandémique de 119,2 % enregistré en 2020. Et la tendance devrait se poursuivre. Selon les projections, le ratio pourrait tomber à 93 % d’ici 2030.
Royaume-Uni : 103,9 % du PIB

Contrairement à d’autres grandes économies, le ratio dette/PIB du Royaume-Uni devrait continuer à augmenter dans les années à venir, pour atteindre 106,1 % d’ici la fin de la décennie. Un niveau inédit depuis les années 1950, à l’époque où le pays sortait tout juste de la Seconde Guerre mondiale.
Le FMI met en garde : un tel endettement pourrait freiner la croissance économique et accroître la vulnérabilité du pays face à des chocs imprévus. En cause, notamment, la structure de la dette britannique, dont une part croissante est désormais entre les mains d’investisseurs étrangers et de fonds spéculatifs plus volatils.
Belgique : 106,4 % du PIB

La Belgique figure parmi les mauvais élèves de l’Union européenne en matière de dette publique. Avec la Pologne et cinq autres États membres, elle a récemment été rappelée à l’ordre par les régulateurs européens en raison d’un ratio dette/PIB qui atteint 106,4 %.
L’an dernier, l’OCDE a tiré la sonnette d’alarme. Si les gouvernements successifs ne parviennent pas à freiner les emprunts et les dépenses excessives, le ratio dette/PIB pourrait grimper jusqu’à 200 % d’ici 2050, un scénario jugé particulièrement préoccupant.
Canada : 112,5 % du PIB

Le ratio dette/PIB du Canada s’élève actuellement à 112,5 %, contre 110,8 % en 2024, une hausse modérée mais continue qui inquiète les experts. Le fardeau de la dette publique est d’autant plus préoccupant qu’il s’ajoute à un niveau d’endettement des ménages parmi les plus élevés du monde.
Face à cette situation, le nouveau gouvernement Carney entend éviter l’austérité. Sa stratégie vise à s’appuyer sur la croissance économique pour alléger le poids de la dette, en augmentant les investissements publics, notamment dans les infrastructures et la défense, plutôt qu’en procédant à des coupes budgétaires.
France : 116,3 % du PIB

La France fait partie des sept États membres rappelés à l’ordre par l’Union européenne pour leur déficit budgétaire excessif. Avec un modèle social généreux et une population peu encline à accepter des réformes de réduction des dépenses publiques, le gouvernement peine à inverser la tendance.
Certes, des mesures ont été prises, comme le gel de 5 milliards d’euros de crédits supplémentaires prévu pour l’exercice 2025, mais cet effort risque d’avoir un impact limité à court terme. La dette publique française atteint désormais près de 3 346 milliards d’euros, un niveau record. Et les seuls intérêts à rembourser pèsent davantage que les budgets combinés de la Défense et de l’Éducation nationale.
États-Unis : 122,5 % du PIB

Les États-Unis détiennent la plus importante dette publique au monde. Les engagements de l’État fédéral atteignent la somme vertigineuse de 36 200 milliards de dollars (33 448 milliards d’euros), soit plus du double de la dette chinoise, qui arrive en deuxième position. Pour mesurer l’ampleur du phénomène, les intérêts versés sur cette dette dépassent les budgets combinés de la Défense et de Medicare.
Alors que la dette américaine suit une trajectoire jugée intenable, des tentatives ont été menées pour réduire les dépenses publiques, notamment via l’entreprise controversée DOGE, lancée par Elon Musk. Mais cette initiative n’a guère permis de réaliser des économies significatives.
Et la situation s’est tendue davantage lorsque Musk et le président Trump se sont violemment opposés autour du projet de loi « One Big Beautiful Bill Act », qui promet d’alourdir encore la dette nationale, un texte en totale contradiction avec les objectifs affichés de la DOGE.
Italie : 137,3 % du PIB

Déjà fortement endettée, l’Italie continue d’emprunter au point que la situation devient de plus en plus insoutenable, non seulement pour le pays lui-même, mais aussi pour l’ensemble de la zone euro.
Bruxelles a placé l’Italie parmi les sept pays en infraction pour déficit excessif et exige une réduction rapide de sa dette. Pourtant, le ratio dette/PIB ne cesse d’augmenter, sur fond de croissance atone.
Ce contexte pourrait faire fuir les acheteurs d’obligations italiennes, ce qui entraînerait une hausse des taux d’intérêt pour l’État et aggraverait encore la spirale de l’endettement.
Japon : 234,9 % du PIB

Avec un ratio dette/PIB de 234,9 %, le Japon affiche le niveau d’endettement le plus élevé au monde, un chiffre qui plongerait bien des économies dans la tourmente. Pourtant, le pays reste stable et bénéficie d’une excellente notation de crédit (catégorie A).
La raison ? La dette est majoritairement libellée en yens, une monnaie de réserve mondiale, et détenue par des investisseurs domestiques. De plus, les taux d’intérêt extrêmement bas rendent cette dette gérable, d’autant que le gouvernement dispose de réserves de change et d’actifs conséquents.
Mais cette situation pourrait ne pas durer : la viabilité à long terme de la dette japonaise est de plus en plus remise en question face au vieillissement accéléré de la population, qui fait grimper les coûts sociaux tout en réduisant la base fiscale.
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