Les 18 dirigeants les plus riches du monde : où se situe Emmanuel Macron ?
Ultra-puissants et ultra-riches

Au-delà de leur pouvoir politique, c’est l’ampleur de la fortune qui frappe chez certains chefs d’État. Et contre toute idée reçue, les plus grandes richesses ne se concentrent pas uniquement entre les mains des dirigeants des grandes puissances économiques. Le classement fait aussi apparaître des figures à la tête de pays parmi les plus pauvres de la planète.
Souvent entourés d’opacité, ces patrimoines sont difficiles à évaluer avec précision, ce qui explique l’absence de certains noms pourtant emblématiques. Néanmoins, les estimations disponibles permettent de dresser un tableau éclairant des fortunes en jeu. De Donald Trump à Vladimir Poutine, découvrez quels dirigeants figurent parmi les plus riches du monde et par quels moyens ils ont bâti leur empire. Tous les montants sont indiqués en dollars US, suivis de la conversion en euros.
Adaptation française par Aurélie Blain
18. Venezuela : Nicolás Maduro – 2 M $ (1,7 M €)

Avec l’un des salaires les plus bas parmi les chefs d’État sud-américains, Nicolás Maduro affiche pourtant une fortune estimée à près de 1,7 million d’euros, un montant que certains analystes considèrent comme très en deçà de la réalité.
À la tête d’un pays plongé dans une profonde crise économique, frappé par l’hyperinflation, les pénuries et les coupures d’électricité, le président vénézuélien mène un train de vie en total décalage avec celui de la population.
Ancien chauffeur de bus devenu syndicaliste, Maduro a pris les rênes du pays en 2013 après la mort d’Hugo Chávez. Son mandat a été marqué par une série de polémiques et de soupçons de corruption, dans un Venezuela pourtant riche en pétrole mais de plus en plus marginalisé sur la scène internationale.
17. Malaisie : Anwar Ibrahim – 2,4 M $ (2,04 M €)

Symbole d’une rigueur budgétaire revendiquée, le Premier ministre malaisien Anwar Ibrahim a marqué les esprits en refusant de monter à bord de la Mercedes-Benz acquise par son prédécesseur, aujourd’hui incarcéré pour corruption. Durant sa campagne, il s’était aussi engagé à renoncer à son salaire de chef du gouvernement — environ 4 227 euros mensuels — un geste fort dans un pays où le salaire minimum atteint tout juste 274 euros.
Mais l’ancien opposant de longue date n’est pas démuni pour autant. En novembre 2022, dans une démarche de transparence, il a rendu public un patrimoine estimé à 2,04 millions d’euros, en invitant ses rivaux politiques à en faire de même. Une somme composée pour près de 152 190 euros de liquidités et d’investissements, mais largement dominée par l’immobilier, une résidence et trois terrains représentant environ 1,86 million d’euros.
16. Philippines : Bongbong Marcos – 3,6 M $ (3,05 M €)

Élu président des Philippines en mai 2022, Ferdinand « Bongbong » Marcos Jr a une fortune personnelle qui reste entourée d’un certain flou. Sa dernière déclaration publique de patrimoine, qui remonte à 2016, faisait état de 204 millions de pesos philippins, soit environ 3,05 millions d’euros aujourd’hui.
Mais selon d’autres estimations, sa richesse réelle pourrait avoisiner les 2,96 milliards d’euros, un chiffre qui suscite la controverse, notamment en raison de son héritage familial. Son père, Ferdinand Marcos, qui a dirigé le pays pendant deux décennies avant d’être renversé dans les années 1980, aurait détourné des milliards d’euros des fonds publics pour financer un mode de vie extravagant.
Des biens de luxe ont été saisis au fil des années — œuvres d’art, propriétés, bijoux et même une impressionnante collection de chaussures — mais une grande partie de cette fortune reste introuvable.
15. Singapour : Lawrence Wong – 5 M $ (4,24 M €)

Ancien ministre des Finances, Lawrence Wong est devenu en mai 2024 le quatrième Premier ministre de Singapour en succédant à Lee Hsien Loong. Moins riche que son prédécesseur, qui siège au conseil d’administration du fonds souverain GIC Private Limited et dont la fortune est estimée à au moins 42,28 millions d’euros, Wong affiche tout de même un patrimoine confortable de 4,24 millions d’euros.
Un chiffre qui pourrait rapidement grimper puisqu’il perçoit un salaire annuel d’environ 2,2 millions de dollars singapouriens (soit 1,35 million d’euros) à la tête du gouvernement, ce qui fait de lui l’un des chefs d’État les mieux rémunérés au monde.
14. Ukraine : Volodymyr Zelensky – 20 M $ (16,97 M €)

Alors que la fortune du président ukrainien Volodymyr Zelensky et de sa famille était estimée à 1,5 million de dollars lors de son investiture en mai 2019, des articles plus récents du magazine Forbes indiquent qu’elle s’élève désormais à environ 20 millions de dollars (16,97 millions d’euros).
Avant de devenir le sixième président du pays, Zelensky était un acteur, humoriste et producteur renommé. Il était surtout connu pour son rôle principal dans la série télévisée satirique Serviteur du peuple, où il incarnait un professeur d’histoire devenu président de l’Ukraine par accident. Zelensky détient également une participation estimée à 25 % dans le groupe de production Kvartal, qu’il a cofondé.
13. Canada : Mark Carney – plus de 21 M $ (17,82 M €)

Le nouveau Premier ministre canadien, Mark Carney, ne vient pas du sérail parlementaire traditionnel, mais il possède une solide expérience au sein des institutions gouvernementales. Entre 2008 et 2013, il a dirigé la Banque du Canada, pilotant le pays à travers la crise financière mondiale. Il a ensuite pris la tête de la Banque d’Angleterre de 2013 à 2020, devenant ainsi le premier étranger à occuper ce poste.
Avant de se lancer en politique, Mark Carney a bâti une carrière internationale dans la finance, notamment chez Goldman Sachs, où il a affûté son expertise économique et amassé une fortune confortable. En plus de son salaire annuel d’environ 400 000 dollars canadiens (soit 247 730 euros), son patrimoine personnel est estimé à plus de 30 millions de dollars canadiens (environ 17,82 millions d’euros). Fidèle à ses engagements en matière d’éthique, il a annoncé qu’il placerait immédiatement l’ensemble de ses actifs dans une fiducie sans droit de regard.
12. France : Emmanuel Macron – 31,5 M $ (26,73 M €)

Après un passage par les médias et l’édition, le président français Emmanuel Macron a entamé un parcours professionnel dans la banque d’investissement en rejoignant Rothschild & Cie en 2008. Deux ans plus tard, il s’est engagé en politique, intégrant l’équipe du président François Hollande. Il a ensuite investi une partie significative des revenus générés durant son passage chez Rothschild pour fonder son propre parti politique et se présenter à l’élection présidentielle. Cet investissement a porté ses fruits puisqu’il a été élu en 2017.
Les estimations varient, mais des sources comme le magazine britannique Spear's estiment par exemple sa fortune à environ 26,73 millions d’euros.
11. Thaïlande : Paetongtarn Shinawatra – 258 M $ (218,91 M €)

Paetongtarn Shinawatra est entrée dans l’histoire en septembre 2024 en devenant la plus jeune dirigeante de Thaïlande. Fille du milliardaire et ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, elle est aussi le quatrième membre de sa famille à accéder au pouvoir, ce qui vient confirmer l’influence durable du clan Shinawatra dans le paysage politique thaïlandais.
Les détails de sa fortune ont été rendus publics par la Commission nationale de lutte contre la corruption, révélant un patrimoine impressionnant : plus de 338,2 millions d’euros d’actifs, dont une collection de sacs de luxe évaluée à 1,69 million d’euros et 75 montres haut de gamme estimées à près de 4,23 millions d’euros. Elle possède également des biens immobiliers à Londres et au Japon.
En parallèle, elle a déclaré environ 135 millions d’euros de dettes, ce qui porte sa fortune nette à 218,91 millions d’euros.
10. Kenya : William Ruto – 400 M $ (339,4 M €)

William Ruto a succédé à Uhuru Kenyatta au poste de président du Kenya en septembre 2022. Même si sa fortune ne rivalise pas tout à fait avec celle de son prédécesseur, estimée à 475 millions d’euros, il reste l’un des dirigeants les plus riches du monde, avec un patrimoine évalué à environ 339,4 millions d’euros.
Ancien vice-président de 2013 à 2022, Ruto aurait bâti l’essentiel de sa fortune dans l’immobilier. Il serait notamment propriétaire de l’hôtel Weston à Nairobi, ainsi que de plusieurs établissements hôteliers à Mombasa et dans la région de Mara, pour une valeur totale dépassant 24 millions de dollars. Il détient aussi des parts dans la compagnie d’assurance Africa Merchant Assurance Company (AMACO).
Face aux critiques grandissantes, il a récemment renoncé à un projet d’augmentation de salaire pour les élus, dans un pays où le salaire minimum tourne autour de 100 euros, contre environ 13 360 euros par mois pour le président.
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9. Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa – plus de 450 M $ (381,83 M €)

Cyril Ramaphosa, président de l’Afrique du Sud, perçoit un salaire annuel d’environ 146 271 euros, une rémunération revalorisée en juillet 2023 dans le cadre d’une augmentation des salaires des élus. Un montant près de 18 fois supérieur au revenu moyen des ménages sud-africains. Depuis 2018, il affirme cependant faire don de la moitié de son salaire à des œuvres caritatives.
Avant son entrée en politique, Ramaphosa était un homme d’affaires influent. Il a quitté la présidence du groupe d’investissement Shanduka en 2015 pour éviter tout conflit d’intérêts, puis a vendu ses parts un an plus tard. Cette même année, Forbes estimait sa fortune à 450 millions de dollars. Toutefois, l’évolution de son patrimoine depuis reste floue.
Le président a fait l’objet d’une enquête controversée après la découverte de près de 3,38 millions d’euros en liquide, cachés dans l’une de ses fermes à la suite d’un cambriolage présumé. Il a finalement été exonéré de tout acte répréhensible par un organisme de surveillance public.
6 ex-aequo. Rwanda : Paul Kagame – 500 M $ (424,25 M €)

Aux commandes du Rwanda depuis 2000, Paul Kagame est souvent présenté comme l’homme fort qui a permis au pays de se relever du génocide de 1994, qui a fait plus d’un million de morts. Ancien chef des forces rebelles ayant mis fin aux massacres, il incarne aujourd’hui la reconstruction nationale, avec l’ambition affichée de transformer le Rwanda en « Singapour de l’Afrique ». Son régime est toutefois régulièrement pointé du doigt pour sa répression de toute forme d’opposition.
En 2012, des révélations ont mis en lumière l’emprise économique du président et de son parti, le Front patriotique rwandais, qui détiendraient une part importante de l’économie du pays via une holding baptisée Crystal Ventures. Ce conglomérat aux activités aussi diverses que les jets privés ou l’industrie laitière contrôlerait des actifs estimés à 485 millions d’euros. Paul Kagame en assure la présidence et sa fortune personnelle serait évaluée à un montant équivalent.
6 ex-aequo. Turquie : Recep Tayyip Erdoğan – 500 M $ (424,25 M €)

Avant d’être élu président en 2014, Recep Tayyip Erdoğan a occupé les postes de maire d’Istanbul, puis de Premier ministre. S’il parvient à maintenir un socle électoral solide qui lui permet de rester au pouvoir, il est régulièrement accusé de corruption et de dérive autoritaire. Pendant ce temps, la livre turque n’en finit pas de plonger, fragilisant le pouvoir d’achat de millions de ménages.
En juillet 2023, les médias turcs ont révélé qu’Erdoğan s’était accordé une hausse de salaire de 39 %. Son revenu annuel atteint désormais environ 54 957 euros.
Sa fortune personnelle, en revanche, suscite de nombreuses interrogations. Estimée à quelque 424,25 millions d’euros, elle pourrait, selon certaines sources, s’élever à plusieurs milliards.
6 ex-aequo. Azerbaïdjan : Ilham Aliyev – 500 M $ (424,25 M €)

Le Premier ministre de l’Azerbaïdjan, Ilham Aliyev, touchait officiellement un salaire annuel de 230 000 dollars en 2010, soit l’équivalent de 280 000 euros en 2024. Sa famille et lui-même possèdent également d’importants actifs, notamment des biens immobiliers à l’étranger. En 2010, son fils Heydar, alors âgé de 12 ans, aurait acheté neuf villas en bord de mer à Dubaï pour environ 44 millions de dollars (53,2 millions d’euros aujourd’hui), une somme qu’un Azerbaïdjanais moyen accumulerait en 10 000 ans de travail.
Le clan Aliyev a de nouveau fait les gros titres suite aux révélations des Pandora Papers, qui ont révélé que le Crown Estate britannique (organisme administrateur de biens publics) avait acheté une propriété londonienne de 67 millions de livres sterling (73,5 millions d’euros) au fils du président. Par ailleurs, Ilham Aliyev et son gouvernement ont été accusés de corruption à plusieurs reprises.
Sa fortune personnelle est estimée à environ 424,25 millions d’euros, bien que d’autres calculs avoisinent les 760 millions d’euros.
5. Guinée équatoriale : Teodoro Obiang Nguema Mbasogo – 600 M $ (509,1 M €)

À la tête de la Guinée équatoriale depuis 1979, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo détient le record de longévité parmi les chefs d’État africains. Il a pris le pouvoir après avoir renversé son oncle, Francisco Macías Nguema, lors d’un coup d’État militaire. À la tête de ce petit pays d’Afrique centrale riche en pétrole, il est régulièrement accusé de diriger un régime autoritaire. Sa fortune personnelle, rarement actualisée, avait été estimée par Forbes à 509,1 millions d’euros.
Le goût du luxe semble se transmettre de père en fils. En 2016, dans le cadre d'une enquête pour corruption, les autorités suisses ont saisi la collection de 26 voitures de prestige de son fils, Teodoro « Teodorín » Nguema Obiang, également vice-président du pays. Parmi les modèles confisqués figuraient sept Ferrari, cinq Bentley, trois Lamborghini, une Maserati, une McLaren et une Bugatti Veyron. La collection a ensuite été vendue aux enchères pour 22,8 millions d’euros.
Plus récemment, plusieurs biens immobiliers de Teodorín ont été saisis, dont un luxueux domaine à Malibu, en Californie. Une partie du produit de la vente a été réinvestie dans des campagnes de vaccination contre le COVID-19 en Guinée équatoriale.
4. Chine : Xi Jinping – estimée à 1,5 Md $ (1,27 Md €)

Officiellement, Xi Jinping ne perçoit qu’un modeste salaire annuel d’environ 18 600 euros, malgré ses fonctions de secrétaire général du Parti communiste chinois, de président de la République populaire de Chine et de chef de la Commission militaire centrale.
Mais en 2012, une enquête a révélé que lui et sa famille détenaient des participations dissimulées dans une multitude de sociétés, dont une part évaluée à 244 millions de dollars (soit quelque 282,4 millions d’euros aujourd’hui) dans le groupe immobilier Shenzhen Yuanwei. À son apogée, la fortune personnelle de Xi Jinping aurait atteint 1,27 milliard d’euros. La valeur actuelle de son patrimoine reste toutefois enveloppée de mystère.
3. États-Unis : Donald Trump – 4,9 Md $ (4,16 Md €)

Donald Trump ne se contente pas d’être l’un des dirigeants les plus riches en exercice aujourd’hui : il est aussi le président le plus fortuné de l’histoire des États-Unis. Ancien magnat de l’immobilier et figure incontournable des médias, il était déjà immensément riche lorsqu’il a remporté la présidence pour la première fois en novembre 2016.
D’après le magazine Forbes, sa fortune s’élevait alors à 3,8 milliards d’euros. Bien qu’elle ait chuté par la suite à environ 2,11 milliards d’euros, elle a bondi après sa récente victoire électorale. Forbes estime désormais son patrimoine à 4,16 milliards d’euros. En comparaison, son prédécesseur immédiat, Joe Biden, affiche une fortune bien plus modeste, avoisinant les 8,46 millions d’euros.
2. Corée du Nord : Kim Jong-un – 5 Md $ (4,24 Md €)

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un aurait accumulé une fortune de 4,24 milliards d’euros depuis 2013. À l’époque, des responsables américains et sud-coréens avaient découvert des actifs et des comptes bancaires appartenant au dirigeant suprême et à sa famille.
Ils ont déterminé qu’une grande partie de sa fortune était répartie dans plus de 200 comptes bancaires localisés en Chine et dans divers pays, dont l’Autriche, le Luxembourg, la Russie et la Suisse.
1. Russie : Vladimir Poutine – 200 Md $ (169,1 Md €)

Si toutes les caméras sont braquées sur la Russie depuis l’invasion de l’Ukraine en février 2022, les finances de Vladimir Poutine, président russe, restent bien mystérieuses. Une estimation fournie sous serment au Comité judiciaire du Sénat des États-Unis par Bill Browder, ancien PDG de Hermitage Capital Management, évalue la fortune de cet ancien agent du KGB à 169,1 milliards d’euros. Cela ferait de lui l’une des personnes les plus riches du monde.
Cependant, la Commission électorale centrale de la Fédération de Russie a déclaré en 2018 que Vladimir Poutine avait officiellement gagné 673 000 dollars (soit 744 890 euros en valeur actuelle) entre 2011 et 2016. On a également appris qu’il possédait un appartement à Saint-Pétersbourg et 230 actions dans le groupe bancaire Bank St Petersburg.
1. Russie : Vladimir Poutine – 200 Md $ (169,1 Md €)

Dans une vidéo devenue virale, Alexeï Navalny – figure emblématique de l’opposition russe, décédé le 16 février 2024 – révélait l’existence d’un somptueux palais surplombant la mer Noire, qu’il présentait comme une résidence secrète de Vladimir Poutine, financée par des oligarques proches du Kremlin sous forme de « pot-de-vin ».
Navalny y dénonçait également l’obsession supposée du président russe pour l’argent et l’accusait d’avoir orchestré l’appropriation de vastes richesses nationales.
Le Kremlin a vigoureusement démenti ces accusations. Poutine a lui-même qualifié la vidéo de « montage vulgaire » et nié toute implication dans la propriété du palais.
Mais les Pandora Papers ont relancé les soupçons. L’enquête internationale a mis en lumière des liens troublants entre les finances de l'entourage présidentiel et des opérations offshore, notamment à Monaco, surnommée désormais « Moscou-sur-mer » en raison du nombre croissant d’exilés fiscaux russes. Parmi eux figure Svetlana Krivonogikh, présentée comme une ancienne maîtresse présumée de Poutine, dont la fortune secrète s’élèverait à 97 millions d’euros.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a balayé les révélations des Pandora Papers, les qualifiant de « totalement infondées ».
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