65 000 € et 4 000 heures : le pari fou d’une rénovation réussie
Une seconde chance

En 2019, Nate Murphy – convertisseur de van, passionné d’escalade et YouTubeur – surprend ses abonnés en annonçant l’achat d’une maison abandonnée vieille de 200 ans, nichée en Catalogne, en Espagne. Son objectif : la rénover de fond en comble.
De la toiture à l’installation des fenêtres en passant par le câblage électrique ou encore la soudure des structures en acier, Nate s’est lancé corps et âme dans cette aventure. Résultat : après environ 4 000 heures de travail acharné et un budget de 65 000 €, la bâtisse en ruine s’est muée en une superbe maison pleine de charme et de caractère.
Entrez dans les coulisses de ce projet hors norme...
Adaptation française par Laëtitia Lord
Tout commence par une opportunité que peu auraient remarquée

Tout a commencé par une intuition... Nate Murphy, fondateur de The Van Conversion Guide, transforme des fourgons en maisons mobiles ingénieuses depuis plus de dix ans. Après avoir vécu dans son van et sillonné les routes au gré de ses envies pendant quatre ans, il ressent le besoin de se poser et se lance un nouveau défi : rénover une maison.
C’est en 2018, lors d’une escapade à Romanins, près d’Oliana, en Catalogne, qu’il tombe sous le charme d’une bâtisse abandonnée, repérée alors qu’il explore les environs avec sa compagne, Dei. « On ne savait même pas si elle était à vendre, raconte-t-il. Les gens du coin pensaient que oui, mais impossible de trouver un contact. Il a donc fallu partir à la recherche du propriétaire ».
Un potentiel énorme

Un jour, alors qu’il participe à une cueillette d’olives dans la région, Nate apprend que le propriétaire de la maison est sur place. Sans perdre de temps, il s’y rend et parvient à visiter la bâtisse tant convoitée.
« La maison nécessitait d’énormes travaux, raconte-t-il. On savait qu’il faudrait presque tout démolir, mais elle avait un potentiel fantastique ».
Initialement, le propriétaire en demandait 100 000 €. Conscient de l’ampleur des rénovations à entreprendre, Nate lui fait une offre à 80 000 €, qui est acceptée. Une fois les taxes ajoutées, le coût total s’élève à environ 90 000 €.
Cette photo montre l’extérieur de la maison tel qu’il était avant le début des travaux.
Un lieu chargé d’histoire… et de gravats

Nichée dans un paisible village accroché à flanc de colline, au cœur d’une vallée des Pyrénées, la propriété comprend trois étages, un sous-sol laissé à l’abandon et une grange attenante.
« Une plaque sur la porte d’entrée indique que la maison a 220 ans, mais on ne sait pas exactement quand elle a été installée, explique Nate. Ce qui est certain, c’est qu’elle n’avait pas été habitée depuis plus de 20 ans et qu’elle était remplie de ferraille ».
La toute première étape a donc été de vider entièrement l’intérieur. « J’ai rempli trois grandes bennes de 10 à 12 tonnes chacune de gravats, de ciment, de plaques de plâtre et de toutes sortes de matériaux ».
Cette image montre l’état dans lequel se trouvait la maison le jour où Nate en a reçu les clés.
Un grand ménage… et quelques surprises

Il a fallu six semaines à Nate et Dei pour vider et nettoyer l’intérieur de la maison. Au fil des jours, ils ont retiré de vieux meubles, des centaines de pots de confiture oubliés, des montagnes de foin entassées dans la grange (comme on le voit sur cette photo), des rongeurs morts… et même un grand bac métallique rempli d’huile.
« Ce n’était pas si terrible, relativise Nate. C’était un travail physique intense, mais le travail dur, c’est bon pour la santé ».
Le couple a recyclé tout ce qui pouvait l’être et a transporté le reste à la déchetterie locale, dans un souci constant de limiter les déchets.
Une découverte explosive

En déblayant la vieille grange, Nate a fait une découverte aussi inattendue que dangereuse : un ancien meuble de rangement en bois renfermait un sac contenant 2 kg d’explosifs brisants.
« Il était là, enfoui sous le vieux foin, depuis on ne sait combien d’années, raconte-t-il. Un seul bâton aurait suffi à faire exploser la maison... et il y en avait une vingtaine ».
Nate a immédiatement contacté la police, qui a dépêché une équipe de démineurs. Les explosifs ont été retirés en toute sécurité, ce qui a permis d’éviter de justesse la catastrophe.
De la vision aux plans, puis à la transformation

Le couple fait alors la rencontre de Nina, une architecte locale, qui les accompagne dans l’élaboration des plans de rénovation et les démarches administratives nécessaires auprès des autorités locales.
Nate avait une idée bien précise en tête : installer de grandes portes coulissantes en verre dans le salon du premier étage et dans la chambre principale, afin de profiter pleinement de la lumière naturelle et des vues imprenables. Pour cela, un permis de construire s’imposait.
Le projet est temporairement mis sur pause, le temps d’obtenir l’autorisation. Une fois celle-ci accordée, les travaux structurels peuvent enfin commencer. Pendant quatre mois, Nate et Dei s’attaquent aux fondations du projet : « Nous avons remplacé toute la toiture, abattu plusieurs cloisons intérieures, créé de nouvelles ouvertures pour les fenêtres et refait l’ensemble des sols », explique Nate.
L’un des chantiers les plus lourds a été la réfection complète du toit, qui était perforé à de nombreux endroits. Il a fallu démonter la structure dans son intégralité avant de la reconstruire, pièce par pièce.
Un démontage millimétré, une vision déjà en place

Sur cette image, on découvre l’ampleur du travail réalisé par Nate. Il a démonté le toit avec un soin extrême, retirant chaque tuile une par une pour pouvoir les réutiliser plus tard.
Les éléments de la charpente, comme les poutres maîtresses, les solives et les structures de soutien du toit, ont été démontés, tout comme certaines portions des murs extérieurs. On aperçoit aussi une grande ouverture récemment créée au premier étage : c’est là que Nate prévoit d’installer une baie vitrée coulissante, afin de relier le futur espace de vie ouvert à un balcon extérieur baigné de lumière.
Un toit reconstruit à l’ancienne, avec ingéniosité et patience

Étonnamment, Nate a reconstruit presque entièrement le toit lui-même, épaulé de temps en temps par un ami seulement. Ensemble, ils ont mesuré et découpé de nouvelles poutres en bois pour créer une charpente solide, avant de remonter les murs extérieurs à l’aide de briques et de ciment. Pour ce faire, Nate s’est aidé d’une grande machine équipée d’une buse mobile qui lui a permis de remplir précisément les espaces avec du ciment.
Une fois la structure en bois en place, un cadre en ondalina (des plaques ondulées) a été installé, suivi d’une couche d’isolation thermique. Puis, fidèle à l’esprit du bâtiment d’origine, Nate a réutilisé les anciennes tuiles pour couvrir le toit.
« J’avais à cœur de préserver le style du toit d’origine, explique-t-il. Mais il nous manquait des tuiles. Heureusement, un voisin en avait environ 150 en réserve, ce qui nous a permis de compléter le tout ».
Des ouvertures pensées pour durer

Désireux de moderniser la maison tout en améliorant ses performances énergétiques, Nate a retiré toutes les fenêtres d’origine ainsi que leurs encadrements. Il a ensuite installé de nouveaux cadres en bois robustes pour renforcer la structure, avant de sceller chaque interstice entre les cadres et la maçonnerie à l’aide de ciment afin de garantir une parfaite étanchéité à l’air et à l’eau.
Pour la grande ouverture du salon, Nate n’a pas hésité à s’attaquer au mur extérieur… à la masse. Mais certaines étapes ne peuvent être réalisées seul.
« Il y a des choses qu’on n’a pas le droit de faire soi-même, explique-t-il. C’était le cas pour les portes coulissantes. J’ai préparé l’ouverture, mais des professionnels sont venus en renfort pour installer les poutres structurelles. Il a fallu quatre personnes pour les soulever. En cas d’erreur, c’est toute la façade qui risquait de s’écrouler. Cette étape était cruciale ».
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Lumière et ouverture sur l’extérieur

Une fois les linteaux de soutien solidement en place, les grandes portes coulissantes en verre ont pu être installées. Elles ont immédiatement métamorphosé les pièces principales — le salon et la chambre — en leur apportant lumière, volume et une connexion directe avec l’extérieur.
Ces portes s’ouvrent sur un balcon que Nate a lui-même terminé, en fabriquant les balustrades à la main. Il a découpé l’acier sur mesure, puis soudé chaque élément pour créer une rambarde à la fois solide et esthétique. Fidèle au style de la maison, les portes vitrées sont encadrées de bois traditionnel, en écho aux anciennes fenêtres.
« Les portes coulissantes m’ont probablement coûté autour de 4 000 euros, précise Nate. Mais elles ont complètement changé l’apparence et la finition de la maison ».
Un intérieur repensé pour la lumière et l’espace

Une fois les nouvelles fenêtres posées et le toit refait à neuf, Nate a pu s’attaquer à l’intérieur de la maison. Les pièces existantes étaient petites et sombres, bien loin de l’espace de vie ouvert et lumineux qu’il imaginait.
Pour y remédier, il a abattu autant de cloisons non porteuses que possible, repensant entièrement le rez-de-chaussée pour y créer un vaste espace combinant salon, salle à manger et cuisine.
Sur cette photo, on le voit en plein effort, en train de démolir d’anciens murs en placoplâtre à la masse — un travail poussiéreux, exigeant, mais nécessaire pour faire place à la transformation.
Remettre le sol à niveau pour accueillir le parquet

Nate a aussi dû s’attaquer au sol du séjour principal. Un ancien propriétaire avait ajouté des cloisons intérieures, puis coulé une chape de béton par-dessus. Une fois ces cloisons retirées, Nate a découvert que le sol était irrégulier et présentait d’importants dénivelés.
« Comme je voulais poser du parquet, il fallait absolument que la surface soit parfaitement plane », explique-t-il.
Souhaitant privilégier les circuits courts, Nate s’est approvisionné en matériaux localement chaque fois que cela s’avérait possible. Mais certains éléments, comme le parquet — peu courant en Espagne —, ont été importés du Royaume-Uni, soit pour leur qualité supérieure, soit parce qu’ils étaient plus abordables.
Un sablage éprouvant confié à des pros

S’il a pris en charge la quasi-totalité des travaux, Nate reconnaît volontiers qu’il y en a un qu’il est heureux d’avoir confié à un professionnel.
« Au départ, je pensais louer une machine pour sabler les poutres du plafond, afin d’enlever la teinture noire et le vernis, raconte-t-il. Mais j’ai vite découvert que ce n’était pas faisable. On a donc engagé un spécialiste… et franchement, je ne le regrette pas ! C’était un travail horrible. Il portait une cagoule, des lunettes, et il était couvert de poussière. Je n’aurais pas voulu faire ça ».
Cette photo met en évidence le résultat impressionnant : les poutres ont retrouvé leur teinte naturelle, qui révèle tout leur charme. Les professionnels ont aussi nettoyé le plafond en béton brut de l’espace de vie, lui redonnant un aspect plus clair et uniforme.
Créer de nouveaux espaces, étape par étape

Une fois les planchers remis à niveau, Nate a pu entamer la création de nouveaux espaces de vie à l’intérieur. Il a construit des cloisons en colombage, découpant l’ossature en bois sur mesure, avant de l’installer et d’y insérer une couche d’isolant entre deux plaques de plâtre.
Dei a ensuite mis la main à la pâte en appliquant soigneusement une couche de plâtre frais sur les nouvelles parois, les rendant prêtes à peindre.
Pour anticiper l’installation électrique, Nate a élaboré un plan précis sur papier, puis il a tracé sur les murs l’emplacement exact des interrupteurs et des prises à l’aide de peinture.
Des salles de bains faites maison

Fait remarquable : Nate a installé lui-même les deux salles de bains de la maison. Dans la salle de bains principale, il a conçu et mis en place tout le système d’évacuation de la douche, carrelé les murs, monté le mitigeur, installé un radiateur et posé la paroi vitrée avec soin.
Mais son travail ne s’est pas arrêté là. Il a même fabriqué à la main un meuble-lavabo unique, alliant acier noir et panneaux de bois, surmonté de marbre. Ce dernier provient d’un ancien élément de la cuisine d’origine, soigneusement récupéré.
« C’est moderne, mais avec un lien avec le passé », souligne Nate avec fierté.
Les dernières installations avant la touche finale

La maison a été entièrement recâblée, un chantier complexe et potentiellement dangereux, heureusement réalisé avec l’aide précieuse d’un ami électricien. Nate a aussi installé la climatisation, ajouté des radiateurs sur plusieurs murs, raccordé un grand réservoir d’eau et placé un poêle à bois dans le salon, ajoutant chaleur et ambiance au cœur de l’espace de vie.
Une fois les travaux techniques terminés, Nate et Dei ont enfin pu passer à la décoration. Leur choix s’est porté sur des teintes douces et naturelles, inspirées du paysage environnant : des bleus et verts clairs, des gris apaisants et de subtils accents de bois, pour une atmosphère à la fois contemporaine et chaleureuse.
Une façade rénovée… avec un brin d’escalade

L’extérieur de la maison n’a pas été négligé. La façade a été refaite avec un nouvel enduit, à la fois esthétique et imperméable. Mais atteindre les parties supérieures d’une bâtisse de trois étages n’a pas été pas une mince affaire.
Une simple échelle ne suffisant pas, Nate a improvisé : il a solidement attaché deux échelles l’une à l’autre, les a installées depuis l’un des balcons et s’en est servi pour grimper jusqu’aux zones les plus inaccessibles. Par sécurité, il s’est encordé à un point d’ancrage, fidèle à ses réflexes de grimpeur aguerri.
Une approche peu conventionnelle, c’est vrai, mais parfaitement maîtrisée par ce passionné de montagne… et de rénovation.
4 000 heures plus tard

Après environ 4 000 heures et douze mois de travail acharné, la maison était enfin terminée. Nate et Dei ont pu quitter leur fourgon pour s’installer dans leur nouveau foyer.
L’extérieur fraîchement enduit d’un jaune chaleureux rappelle la teinte d’origine de la façade et rend hommage à l’âme de la bâtisse.
« La rénovation nous a coûté environ 65 000 €, explique Nate. Cela inclut l’architecte, les frais de notaire, les meubles, la robinetterie, les accessoires… jusqu’aux couverts. En comptant uniquement les matériaux de construction, on a probablement dépensé autour de 55 000 € ».
Un espace de vie lumineux et chaleureux

Cœur de la maison, cet espace de vie ouvert situé au premier étage réunit salon, cuisine et salle à manger. Grâce aux grandes portes vitrées, aux poutres restaurées, aux rangements encastrés sur mesure et au mobilier confortable, la transformation est spectaculaire.
Un poêle à bois assure une chaleur douce en hiver. Relié au système de radiateurs, il permet de chauffer toute la maison.
Sur le toit, des panneaux solaires produisent l’énergie nécessaire au quotidien, tandis qu’un récupérateur de chaleur maintient un air sain à l’intérieur et protège efficacement contre l’humidité.
Une cuisine simple, mais non sans défis

Achetée chez IKEA, la cuisine du couple a été montée pièce par pièce par Nate lui-même. Avec ses placards bicolores bleu tendre et ses plans de travail en bois, elle s’intègre parfaitement à l’esthétique douce et naturelle de la maison.
Mais ce n’est pas pour autant que tout s’est déroulé sans accroc. La commande a été annulée et retardée à plusieurs reprises, rendant cette étape plus compliquée que prévu.
« Ce que les gens ne voient pas, c’est le temps que prend la gestion des matériaux, explique Nate. Il faut savoir quoi commander, où, quand et en quelle langue. J’ai passé un nombre incalculable d’heures en ligne. Honnêtement, je préfère encore porter des sacs de béton à l’étage avec le dos en vrac que perdre du temps à commander des produits qui, au final, n’arriveront peut-être jamais ».
Une vue imprenable et une expérience inoubliable

La nouvelle porte vitrée ne se contente pas de faciliter l’accès au grand balcon extérieur, aménagé avec un coin salon convivial. Elle encadre aussi une vue spectaculaire sur les montagnes des Pyrénées, apportant lumière et sérénité au quotidien.
« Je n’avais jamais construit de maison auparavant, confie Nate. Ce projet m’a tout appris : plomberie, électricité, soudure, charpente, toiture, salles de bains, cuisines, fabrication de meubles, carrelage, ventilation, panneaux solaires… La liste est longue ! C’était un vrai parcours du combattant. Il y a eu des moments difficiles, mais aujourd’hui, j’ai une maison. Et ça, ça valait vraiment la peine ».
Un étage intime et bien pensé

La chambre principale se trouve au deuxième étage. Elle s’ouvre sur un balcon privé grâce à une élégante porte coulissante en verre, offrant une belle lumière et un accès direct à l’extérieur. Ce niveau comprend aussi une chambre d’amis dotée d’un balcon, ainsi qu’une salle de bains fonctionnelle.
« En réalisant presque tout moi-même, j’estime avoir économisé entre 80 000 € et 100 000 € de frais, explique Nate. J’ai sans doute aussi gagné deux ans sur le calendrier, surtout avec la pandémie, qui aurait empêché la plupart des entrepreneurs de travailler pendant des mois en Espagne. Alors oui, c’était dur… mais finalement, c’était la meilleure décision que je pouvais prendre ».
Un espace de confort et une grange réinventée

La salle de bains du couple affiche un style résolument moderne avec ses équipements noirs raffinés : douche, radiateur et encadrement anthracite de la paroi vitrée coulissante s’accordent dans une parfaite harmonie. Deux fenêtres en verre dépoli laissent entrer une lumière généreuse tout en garantissant une intimité totale.
À l’extérieur, la grange attenante a elle aussi bénéficié d’une seconde vie. Restaurée et dotée d’un nouveau sol carrelé, elle offre désormais un espace en plein air idéal pour dîner, se détendre ou tout simplement contempler le paysage pyrénéen en toute tranquillité.
Un conseil pour celles et ceux qui rêvent de se lancer

Nous avons demandé à Nate quels conseils il donnerait à celles et ceux qui envisagent un projet aussi ambitieux. Il a partagé une réflexion pleine de sagesse.
« Quand j’étais enfant, mes parents faisaient toujours les travaux eux-mêmes à la maison. J’ai grandi avec l’idée que tout est faisable si on s’en donne les moyens », raconte-t-il.
« C’est sans doute ce qui m’a le plus aidé pendant la rénovation. Si vous ne vous en pensez pas capable, vous ne commencerez jamais. Mais une fois que vous vous lancez, vous n’avez plus le choix : il faut avancer, résoudre les problèmes et trouver comment faire. C’est là que tout se joue ».
Et maintenant ?

Pour la suite, rien n’est encore écrit pour ce transformateur de fourgons en série, désormais rénovateur de maisons chevronné. Une chose est sûre : on a hâte de voir ce qu’il nous réserve — et on gardera un œil attentif sur sa chaîne YouTube.
Si l’histoire de Nate vous a inspiré et que vous souhaitez en savoir plus sur sa démarche, vous pouvez consulter son livre électronique How to Buy & Renovate a House in Spain (Comment acheter et rénover une maison en Espagne), ou découvrir sa vidéo détaillée sur YouTube.
Une chose est certaine : les aventures de ce rénovateur intrépide sont loin d’être terminées… et on a hâte de connaître la suite !
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