Instants volés : ces photos racontent une autre histoire des stars
Dans l’intimité des stars d’hier

Habituées aux couvertures des magazines ou au grand écran, les stars se dévoilent en toute intimité à travers ces clichés vintage. Une autre facette de ces célébrités dans leur vie privée, entourées de leurs proches et loin des projecteurs.
Loin des strass et des paillettes, leur quotidien pourrait bien vous surprendre. Au naturel et sans artifices, ces icônes glamour savourent des instants de quiétude et échappent aux regards du monde.
D’Arnold Schwarzenegger à Yoko Ono et John Lennon en passant par Marilyn Monroe et Brigitte Bardot, entrez dans l’intimité des plus grandes figures du show-business…
Adaptation française par Charline Pelletier
Joan Collins au piano

Joan Collins est une actrice et autrice anglaise dont la prestigieuse carrière s’étend sur près de huit décennies. Surnommée un temps « l’enfant terrible de la Grande-Bretagne », elle enchaîne les succès au cinéma en Angleterre et aux États-Unis dans les années 1950 et 1960, avant de se tourner vers la télévision dans les années 1970.
Malgré un emploi du temps professionnel bien rempli, Joan Collins trouve toujours du temps pour se consacrer à sa vie de famille. On la voit ici, en 1981, dans le salon de sa maison de Beverly Hills, écoutant sa fille Katyana s’exercer au piano.
Joan Collins, romancière à l’œuvre

Plus tard, Joan Collins se lance dans l’écriture et devient chroniqueuse régulière pour de nombreux journaux, tels que The Spectator, The Sunday Telegraph et Harper’s Bazaar. Elle publie également plusieurs romans à succès ainsi que des ouvrages sur l’art de vivre.
On la voit ici en 1995, dans le bureau de sa maison de Beverly Hills, en plein travail sur son dernier roman. Les murs sont ornés de couvertures de magazines internationaux, toutes encadrées avec soin.
Le « Bachelor Hall » de Cary Grant

Né Archibald Leach à Bristol, en Angleterre, Cary Grant est devenu l’un des acteurs emblématiques de l’âge d’or hollywoodien. Avec son charme irrésistible, son élégance naturelle et son séduisant accent mi-britannique, mi-américain, il devient rapidement le célibataire le plus convoité d’Hollywood. Pourtant, il ne semble pas pressé de mettre fin à son célibat.
On le voit ici détendu aux côtés de l’acteur Randolph Scott dans ce qui fut surnommé le « Bachelor Hall » : une maison à Santa Monica que les deux amis ont achetée ensemble et qu’ils partagent pendant 12 ans, après s’être liés d’amitié sur le tournage de Hot Saturday en 1932.
Cary Grant, chez lui

Au cours de sa vie, Cary Grant s’est marié cinq fois. On le voit ici en 1943 sur une photo promotionnelle pour la RKO Radio Pictures, posant sur le perron de sa maison aux côtés de sa seconde épouse, l’héritière mondaine Barbara Hutton, et de leur chien.
Le couple affiche une certaine décontraction, mais Cary Grant paraît moins heureux sur cette photo que dans son ancien refuge de célibataire.
Marilyn Monroe en toute intimité

Figure mythique du XXe siècle et légende incontestée d’Hollywood, Marilyn Monroe incarne à la fois le glamour et la fragilité. Star planétaire grâce à des classiques comme Les hommes préfèrent les blondes ou Certains l’aiment chaud, elle n’en demeure pas moins une femme en proie à des démons intimes : addictions, dépression et mariages chaotiques viennent assombrir son destin.
Mais derrière l’icône se cache aussi une femme en quête de paix. En témoigne cette scène capturée dans l’intimité de sa chambre californienne, où l’on découvre Marilyn, sereine, assise sur un canapé, en train d’ouvrir avec attention les nombreuses lettres que lui ont adressées ses admirateurs.
La dernière maison de Marilyn Monroe à Los Angeles

En 1946, Marilyn Monroe signe un contrat de sept ans avec les studios 20th Century Fox, un tournant décisif qui fera d’elle une star. On la voit ici devant sa maison de Los Angeles en 1956, peu avant son départ pour New York, où elle épousera son troisième mari, le dramaturge Arthur Miller.
L’actrice semble détendue devant cette maison de plain-pied inspirée des ranchs américains des années 1950. Elle profite peut-être de ses derniers mois de liberté avant de renouer avec la vie conjugale.
Judy Garland et la petite Liza Minnelli

Judy Garland devient une icône du grand écran à seulement 16 ans, lorsqu’elle décroche le rôle convoité de Dorothy Gale dans Le Magicien d’Oz des studios MGM. Elle enchaîne ensuite les comédies musicales à succès, dont Parade de printemps et Le Chant du Missouri.
C’est justement pendant le tournage de ce dernier film que Judy Garland rencontre le réalisateur Vincente Minnelli, dont elle tombe amoureuse. Le couple se marie en 1945 et accueille leur fille Liza l’année suivante. Judy Garland est photographiée ici avec Liza Minnelli dans leur maison familiale en 1946, un instant attendrissant où l’actrice savoure sa nouvelle vie de mère.
Judy Garland prépare des pancakes

Les instants de calme chez elle étaient rares pour Judy Garland, comme en témoigne ce cliché où elle apparaît souriante, préparant des pancakes dans sa cuisine.
Soumise à des journées interminables en studio et à des remarques cruelles sur son apparence, jugée « pas assez jolie pour être une star », elle a lutté toute sa vie contre l’addiction et la dépression.
Le refuge chic de Charlie Chaplin

La vie de Charlie Chaplin a tout d’un conte de fées : une ascension fulgurante, des bas-fonds londoniens aux sommets d’Hollywood. Né dans la pauvreté, il grandit à Londres, dans des institutions publiques réservées aux plus démunis. Il travaille ensuite sur les planches des music-halls où il se fait remarquer par un agent. Celui-ci l’emmène alors aux États-Unis pour lancer sa carrière cinématographique. Il débute modestement sur les scènes de vaudeville, avant de s’imposer comme l’une des plus grandes stars du cinéma comique hollywoodien.
Des années 1920 aux années 1940, Charlie Chaplin est au sommet de sa gloire, mais dans les années 1950, son succès s’arrête brusquement, lorsqu’il est accusé de sympathies communistes. Contraint de quitter les États-Unis, il s’installe en Suisse, où on l’aperçoit ici sur la photo.
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Charlie Chaplin au manoir de Ban

Refuge suisse de Charlie Chaplin, le manoir de Ban est un élégant château situé sur les rives du lac Léman. C’est là que l’acteur en exil s’installe avec sa quatrième et dernière épouse, l’actrice Oona O’Neill, photographiée ici tenant leur fille Jane, encore bébé. Autour d’eux, leurs cinq autres enfants.
De 1952 jusqu’à sa disparition en 1977, pendant 25 ans, Charlie Chaplin mène une vie confortable au manoir de Ban, entouré de sa famille. Aujourd’hui, la maison a été transformée en un musée consacré à sa vie et à son œuvre.
John Lennon, père au foyer

Membre du groupe de rock légendaire des Beatles, John Lennon fascine autant qu’il divise dans l’univers de la musique.
En 1966, il rencontre l’artiste Yoko Ono lors de son exposition à l’Indica Gallery de Londres. Trois ans plus tard, ils se marient. L’année suivante, les Beatles se séparent, de nombreux fans attribuant injustement cette rupture à l’union du couple.
Artiste pluridisciplinaire, Yoko Ono collabore étroitement avec John Lennon à travers des performances, des créations musicales et des actions pacifistes.
À la naissance de leur fils Sean, John Lennon met sa carrière entre parenthèses pour se consacrer pleinement à son rôle de père, comme en témoigne ce tendre cliché pris dans la chambre de leur fils, dans leur maison de Liverpool.
John Lennon et Yoko Ono à Tittenhurst Park

En 1969, le couple s’installe à Tittenhurst Park, près d’Ascot, en Angleterre, après avoir acquis la propriété pour 150 000 livres sterling (environ 2,5 M € aujourd’hui). Cette demeure seigneuriale de style géorgien, classée au patrimoine architectural britannique, comprend de vastes jardins, des quartiers pour le personnel et des cottages Tudor, tous entièrement rénovés pour correspondre aux goûts du couple.
Le couple y fait même aménager un studio d’enregistrement, l’Ascot Sound Studios, où ils collaborent sur plusieurs morceaux. Lorsque John Lennon part s’installer aux États-Unis, il vend Tittenhurst Park à son ancien camarade des Beatles, Ringo Starr, qui rebaptise le studio Startling Studios.
La famille Jackson s’installe à Hayvenhurst

Bien avant que Michael Jackson ne devienne le « roi de la pop », le groupe qu’il forme avec ses frères, les Jackson 5, s’impose comme un phénomène musical mondial, et ce, pendant plus de 20 ans. Fondé en 1964 par leur père, Joe Jackson, le groupe accède peu à peu à la renommée sous sa direction et enchaîne les succès.
En 1971, les Jackson 5 connaissent leur premier succès commercial, un tournant qui les fait quitter leur milieu modeste de Gary, dans l’Indiana. Joe Jackson décide alors d’installer la famille à Hayvenhurst, dans la vallée de San Fernando, en Californie. Il y acquiert un domaine d’environ un hectare pour 250 000 dollars, soit l’équivalent de 1,8 million d’euros aujourd’hui.
Le domaine californien des Jackson

Si les frères Jackson n’ont pas eu une enfance ordinaire, leur vie à Hayvenhurst a, à bien des égards, compensé ce manque. En plus de la résidence principale — avec ses cinq chambres et sept salles de bains — la propriété abrite un cinéma, un bassin de carpes koï, un salon de crème glacée, une confiserie, une boutique de marionnettes et même un diorama de Blanche-Neige et les Sept Nains.
Michael Jackson y restera jusqu’à l’achat de son célèbre ranch de Neverland, en 1987. Selon les registres publics, la maison appartient toujours à la famille Jackson.
Elvis Presley, heureux à la maison

Malgré sa notoriété, Elvis Presley reste avant tout un homme attaché à son foyer et à sa famille. Il est particulièrement proche de sa mère, Gladys. Sur cette photo, on le voit allongé sur un lit à côté d’elle, dans le ranch de plain-pied d’Audubon Drive, où il s’installe avec ses parents en mars 1956.
À cette époque, Elvis Presley est déjà une star. La police doit régulièrement intervenir pour contenir la foule de fans attroupée devant la maison.
Elvis Presley avec sa femme Priscilla et sa fille Lisa Marie

Passant d’une simple bicoque de deux pièces à Tupelo, dans le Mississippi, à l’imposante maison de Graceland, dans laquelle il passera les dernières années de sa vie, Elvis Presley a parcouru bien du chemin au cours de sa vie. Avant sa disparition tragique, le chanteur profite néanmoins de nombreux moments de bonheur dans cette demeure mythique de Memphis, qu’il acquiert en mars 1957 pour 102 500 $ (environ 1,1 M € aujourd’hui).
On le voit ici en 1968 dans le jardin, en compagnie de sa femme Priscilla, de leur fille Lisa Marie et de leur chien. La demeure de style néo-colonial qui s’étend sur un domaine de 5,3 hectares offre amplement d’espace pour la jeune famille d’Elvis Presley, mais aussi pour ses parents, sa grand-mère et même sa tante.
John Wayne se repose au Texas

Figure emblématique de l’âge d’or d’Hollywood, John Wayne s’est illustré dans de nombreux westerns et films de guerre. Sa carrière, qu’il a débutée dans le cinéma muet des années 1920, se poursuivra pendant plus de 50 ans.
S’il passe l’essentiel de sa vie en Californie, on le voit ici en 1975, savourant un moment de calme dans sa maison texane, quatre ans avant sa disparition.
John Wayne joue aux échecs

À l’image de ses rôles à l’écran, la maison de John Wayne affiche une esthétique résolument masculine, avec des meubles en bois sombre, de vastes espaces et des œuvres d’art équestres.
On le voit ici en pleine partie d’échecs, un de ses passe-temps favoris sur les plateaux de tournage, entre deux prises.
Jane Fonda, tel père, telle fille

L’actrice prolifique et militante engagée Jane Fonda a remporté deux Oscars, deux BAFTA, sept Golden Globes et un Emmy Award au cours de sa carrière, qui s’est étendue sur près de six décennies.
Fille du célèbre comédien de théâtre et de cinéma Henry Fonda, Jane baigne dans le monde du spectacle dès son plus jeune âge. On la voit ici chez son père, en train de lui remettre l’Oscar du meilleur acteur qu’elle avait accepté en son nom lors de la 54e cérémonie des Oscars.
Jane Fonda télétravaille

Entourée d’une montagne de coussins, de couvre-lits et de tapisseries murales à motifs indiens, Jane Fonda passe tranquillement des coups de téléphone depuis son lit recouvert de papiers dans sa maison de Beverly Hills, en 1970.
À cette époque, elle est mariée au scénariste et réalisateur français Roger Vadim, avec qui elle a une fille prénommée Vanessa, en hommage à l’actrice et militante Vanessa Redgrave.
Vue de star chez Diana Ross

Chanteuse emblématique des Supremes, l’un des groupes phares du label légendaire de la Motown, Diana Ross enchaîne les succès. Ses titres atteignent les sommets des charts, aussi bien avec le groupe qu’en solo.
Elle s’illustre également au cinéma, en incarnant notamment Billie Holiday dans Lady Sings the Blues en 1972. Pendant le tournage, elle réside à Tinsel Town. Elle y est photographiée ici en mars 1971, prenant la pose sur la terrasse de sa villa, qui offre une vue imprenable sur tout Hollywood.
Diana Ross devant chez elle

Avec une vue panoramique imprenable sur Hollywood, il est difficile de comprendre pourquoi Diana Ross a quitté une telle résidence.
Cette luxueuse villa n’était pourtant qu’une des nombreuses propriétés de la star. De Miami Beach à Beverly Hills, en passant par la banlieue huppée du Connecticut, Diana Ross détenait un vaste portefeuille de maisons estimées à plusieurs millions de dollars.
La maison de Sonny et Cher à Encino

Icône de la pop et du divertissement, le duo américain Sonny & Cher a marqué les années 1960 et 1970 avec des classiques comme I Got You Babe et Baby Don’t Go. Plus qu’un simple duo musical, Sonny et Cher sont partenaires à la ville comme à la scène. Ainsi, le couple réussit à concilier sans peine vie personnelle et succès professionnel, notamment dans leur somptueuse villa de style méditerranéen à Encino, en Californie.
Ils auraient acheté cette propriété de six chambres à l’acteur Tony Curtis pour 250 000 $ (soit environ 2,2 M € aujourd’hui) en 1967, selon le magazine britannique Closer.
Sonny et Cher au téléphone

Cette propriété des années 1930, avec ses volumes généreux, ses plafonds voûtés et ses espaces lumineux, accueille avec élégance les projets des deux artistes. La villa compte une salle réservée au petit-déjeuner, un home cinéma, une salle de billard, une bibliothèque lambrissée, une gigantesque salle à manger et une superbe piscine.
Sonny et Cher y sont heureux jusqu’à leurs débuts à la télévision avec The Sonny & Cher Show en 1971. Et c’est — une fois encore — Tony Curtis qui les convainc de plier bagage.
L’appartement secret de Walt Disney dans une caserne de pompiers

Maître incontesté du grand écran et gardien des mondes féériques et imaginaires bien après sa disparition, Walt Disney ne s’est pas contenté de créer des dessins animés : il a redéfini plusieurs univers à lui seul.
Si ce génie visionnaire a un sens aiguisé des affaires, il sait aussi cultiver la magie dans sa vie personnelle. De sa maison californienne, remplie de touches fantaisistes, à son appartement secret au parc Disneyland d’Anaheim, en Californie, Walt Disney veille à ce que l’enchantement soit omniprésent dans son quotidien.
Situé juste au-dessus de la caserne de pompiers de Main Street, cet appartement privé – visible ici – est l’un des lieux les plus emblématiques du parc.
Le chef-d’œuvre victorien de Walt Disney

Dès l’inauguration de Disneyland, en 1955, Walt Disney y consacre toute son énergie — et une bonne partie de son temps. Son appartement lui sert alors de pied-à-terre, car il effectue de fréquents allers-retours entre Anaheim et les studios.
Pour l’aménagement de cet espace, Walt Disney fait appel au décorateur oscarisé Emile Kuri, qui le meuble avec soin, mêlant antiquités, porcelaines et objets chinés.
Sa fille Diane rapporte sur le site WaltDisney.org que cet appartement était l’expression même du « petit chef-d’œuvre victorien » imaginé par son père.
La chambre d’enfant d’Elizabeth Taylor

L’icône anglo-américaine Elizabeth Taylor débute sa carrière d’actrice très jeune, dès l’enfance. Elle collectionne les succès avec des films comme La Fidèle Lassie et Le Grand national. On la voit ici dans sa chambre de jeune fille dans les années 1940, en train de feuilleter un magazine.
Entourée de peluches, de photos de famille et d’une pile de livres et de disques, Elizabeth Taylor n’a pas encore basculé dans l’âge d’or hollywoodien qui marquera son destin par la suite.
Les goût de luxe d’Elizabeth Taylor

Adulte, la carrière d’Elizabeth Taylor atteint des sommets. L’actrice rafle une pluie de récompenses, dont deux Oscars, un Golden Globe et le prestigieux titre de dame commandeur de l’Empire britannique. Bijoux étincelants, robes haute-couture et mariages à répétition — elle en fera sept, dont deux avec Richard Burton — font autant partie de sa légende que ses rôles à l’écran.
On la voit ici posant sur un lit aux draps fleuris, vêtue d’une nuisette vaporeuse. Un décor qui qui n’est pas sans rappeler celui de sa chambre d’enfant. Certaines choses ne changent jamais vraiment.
Julio Iglesias chez lui, en Espagne

En 1969, le légendaire auteur-compositeur-interprète espagnol Julio Iglesias sort son tout premier album. Ce n’est que le début d’une carrière prolifique : il enregistrera au total 80 albums, vendus aux quatre coins du monde. Au fil des décennies, il bâtit également une véritable fortune, estimée à quelque 600 millions de dollars (environ 555 M€).
Originaire de Madrid, il est photographié ici en 1974 avec sa femme Isabel dans leur maison de Cadix. Leurs enfants, Julio Jr. et Chábeli, s’amusent sur des jouets à bascules, dans ce qui semble être leur chambre ou leur salle de jeux. Leur troisième enfant, Enrique, naîtra l’année suivante. Chanteur mondialement connu, comme son père, Enrique Iglesias est aujourd’hui marié à la championne de tennis Anna Kournikova. Au total, Julio Iglesias a eu huit enfants.
Julio Iglesias et Guy Lux

Au fil de ses succès, Julio Iglesias se bâtit un impressionnant patrimoine immobilier.
On le voit ici en 1990, dans sa maison de Beverly Hills, téléphone à l’oreille, tandis que Guy Lux joue les majordomes.
Le crooner possède également plusieurs terrains sur Indian Creek Island, une enclave ultra-exclusive de Miami surnommée le Billionaire Bunker (« le bunker des milliardaires »), où résident quelques-unes des plus grandes fortunes du sport, des affaires et de la politique — dont Jeff Bezos, fondateur d’Amazon.
Le nid d’amour sixties de Johnny Hallyday

Quand Johnny Hallyday débarque sur les ondes au début des années 1960, il bouscule l’establishment français et s’impose comme le pionnier du rock’n’roll hexagonal.
Ses performances scéniques, jugées trop déchaînées pour l’époque, vont même jusqu’à entraîner une interdiction temporaire des concerts de rock. Surnommé l’« Elvis français », il devient rapidement une icône.
Sur cette photo prise en 1965, on le voit chez lui aux côtés de sa femme, la chanteuse Sylvie Vartan, avec qui il restera marié jusqu’en 1980. Il se remariera ensuite à trois reprises.
L’appartement parisien du rockeur

Au fil de ses 15 ans de mariage avec Sylvie Vartan, la décoration chez Johnny Hallyday évolue sensiblement. Il pose ici, en décembre 1980, peu après son divorce, dans un design qui tranche radicalement avec son nid douillet des sixties. Exit les miroirs du sol au plafond, une immense peinture abstraite occupe désormais toute l’espace.
À son décès en 2017, à l’âge de 74 ans, Johnny Hallyday possédait également une maison en Californie, où il vivait avec Læticia et leurs deux filles. C’est d’ailleurs là qu’il avait établi sa résidence principale, notamment pour des raisons fiscales, selon la BBC.
Serge Gainsbourg et Jane Birkin, chez eux

Peu d’histoires d’amour incarnent aussi bien la relation entre un artiste et sa muse que celle qui a uni Serge Gainsbourg et Jane Birkin. Aussi passionnée que mouvementée, leur relation a duré 12 ans malgré les 18 ans qui les séparaient.
Jane Birkin est devenue célèbre en interprétant le sulfureux duo Je t’aime… moi non plus avec Gainsbourg, une chanson qu’il avait pourtant écrite pour son ancienne compagne, Brigitte Bardot.
On les voit ici à leur domicile parisien, rue de Verneuil, en 1972, entourés de leur fille Charlotte, alors bébé, et de Kate, la fille de Jane, née de sa précédente relation avec le compositeur britannique John Barry.
Serge Gainsbourg, dans sa salle de musique

Gainsbourg et Birkin se séparent en 1980, mais restent proches. On le voit ici dans la salle de musique de sa maison de la rue de Verneuil, à Paris, en 1986, l’année même où il devient père d’un garçon avec le mannequin Caroline von Paulus, connue sous le nom de Bambou.
Gainsbourg a été marié deux fois et a eu quatre enfants. À sa mort en 1991, à l’âge de 62 ans, le président François Mitterrand lui rend hommage en déclarant qu’il a « élevé la chanson au rang d’art ».
Karl Lagerfeld dans son appartement parisien

Si l’on connaît surtout Karl Lagerfeld pour sa silhouette immuable, tout de noir vêtu, dans les dernières années de sa vie, ce cliché le montre à une période un peu plus détendue, mais toujours résolument chic.
Photographié chez lui à Paris en 1976, Lagerfeld, alors âgé de 43 ans, était déjà directeur artistique de la maison de luxe Chloé. Né à Hambourg, il dirigera ensuite Chanel pendant plusieurs décennies. Passionné d’architecture et de décoration, il a également supervisé la somptueuse rénovation de l’emblématique hôtel de Crillon à Paris, un chantier qui s’est étalé sur quatre ans.
Alain Delon, dans son prieuré du XVIIIe siècle

Alain Delon s’est imposé comme l’une des plus grandes stars du cinéma des années 1960 et 1970, avec des films cultes comme Plein soleil, Rocco et ses frères ou Le Guépard. Il a poursuivi sa carrière d’acteur jusqu’en 2019, soit cinq ans avant sa disparition à l’âge de 88 ans.
En 1959, il acquiert un ancien prieuré du XVIIIe siècle à Tancrou, en Seine-et-Marne, où il vivra cinq ans avec l’actrice autrichienne Romy Schneider. La vaste propriété comprenait une demeure de douze pièces, un potager et un petit bois dans lequel Delon gardait un cheval.
Après sa rupture avec l’actrice, il épouse Nathalie Barthélémy. On les voit ici à Tancrou, en 1966, aux côtés de leur fils Anthony. Alain Delon passera ensuite les 50 dernières années de sa vie dans un manoir qu’il a fait construire à Douchy, à 120 kilomètres au sud-est de Paris.
Brigitte Bardot à La Madrague, Saint-Tropez

Sans doute l’actrice française la plus célèbre à l’international dans les années 1950 et 1960, Brigitte Bardot reste autant dans les mémoires pour son style libre et décontracté – souvent pieds nus – que pour ses films cultes, comme Et Dieu… créa la femme ou La Vérité.
Née à Paris en 1934, Bardot vit depuis 1958 à La Madrague, sa villa emblématique de Saint-Tropez (en photo). Qualifiée par Architectural Digest de « villa la plus emblématique de Saint-Tropez », elle attire autant les paparazzis que les curieux.
Aujourd’hui, l’ancienne star du cinéma se consacre à la cause animale. Elle partage son temps entre La Madrague et La Garrigue, une propriété plus isolée où elle s’occupe de ses animaux recueillis.
Le refuge d'Arnold Schwarzenegger à Santa Monica

En 1982, Arnold Schwarzenegger n’est encore qu’un jeune acteur de 35 ans, ex-champion de culturisme en pleine reconversion. Il vient de tourner l’un de ses premiers grands rôles au cinéma, Conan le Barbare.
Pour en assurer la promotion, il ouvre les portes de sa maison de Santa Monica à une équipe de journalistes, qui le décrivent comme « amical et serviable » tout au long du reportage photo.
Amoureux des animaux, Arnold a partagé son quotidien avec plusieurs chiens, mais aussi un poney… et même un âne miniature prénommé Lulu, devenu l’une de ses mascottes les plus attachantes au fil des années.
Arnold Schwarzenegger, chez lui, loin des plateaux de tournage

Le style de vie hollywoodien d’Arnold Schwarzenegger est bien loin de ses modestes débuts à Thal, une petite ville d’Autriche. Fort de son succès naissant, il s’installe dans une luxueuse maison à Santa Monica, décorée dans le pur style des années 1980 : fauteuils en cuir bouffant, tables en verre et teintes pastel à profusion.
À l’époque où cette photo a été prise, en 1982, Schwarzenegger fréquentait Maria Shriver, nièce de John F. Kennedy. Le couple se mariera quatre ans plus tard, en 1986, et aura quatre enfants, avant de divorcer en 2021.
La villa d'Ursula Andress à Ibiza

Ursula Andress reste à jamais associée à son rôle emblématique de Honey Ryder, aux côtés de Sean Connery, dans James Bond contre Dr No (1962). Née en 1936 à Ostermundigen, en Suisse, elle entre dans la légende du cinéma en sortant de l’océan vêtue d’un bikini blanc devenu iconique, faisant exploser les ventes de maillots de bain à travers le monde.
Si elle réside aujourd’hui principalement en Suisse, dans les années 1970, elle possédait cette villa idyllique à Ibiza, en Espagne, un véritable refuge méditerranéen, à l’image de son aura glamour.
Ursula Andress ouvre les portes de sa villa dans les années 1970

Si Ursula Andress a apporté une touche de glamour hollywoodien à sa villa — statues de lion dorées, tapis aux motifs opulents et couverture en fourrure à l’appui — la demeure reste fidèle à l’esprit traditionnel d’Ibiza. Murs épais blanchis à la chaux, cheminée conique et étagères encastrées en bois brut témoignent de l’architecture locale, authentique et rustique.
Elle est photographiée ici en 1978, à l’âge de 42 ans. Deux ans plus tard, elle donnera naissance à son unique enfant, un fils prénommé Dimitri.
La maison de Marlene Dietrich à Beverly Hills

Avant de conquérir Hollywood, Marlene Dietrich s’était déjà imposée comme une star du grand écran en Allemagne, son pays natal. En 1930, elle émigre aux États-Unis pour poursuivre sa carrière internationale. Cinq ans plus tard, elle ouvre les portes de sa maison de Beverly Hills aux caméras, offrant à ses fans un rare aperçu de son univers personnel.
Son intérieur reflète son esprit audacieux et sophistiqué, avec un jeté glamour à imprimé zébré et ce qui semble être des coussins en PVC, signature d’un style à la fois théâtral et avant-gardiste.
Marlene Dietrich pose dans son jardin

Marlene Dietrich partageait cette maison de Beverly Hills et son vaste jardin avec sa fille, Maria. Mais derrière l’image glamour, les relations entre mère et fille étaient tendues. Dans ses mémoires parues en 1992, Maria décrit une enfance malheureuse, malgré le confort matériel et l’opulence du foyer.
Née à Berlin en 1901, Dietrich devient citoyenne américaine en 1937. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle s’engage activement en faveur des Alliés, divertissant les troupes plus de 500 fois sur le front. Pourtant, elle affirmera plus tard :« Dans mon cœur, je suis allemande, allemande dans mon âme ».
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Angela Lansbury arrive à Hollywood

L’actrice emblématique Angela Lansbury a marqué le monde du théâtre, du cinéma et de la télévision au cours de ses 80 ans de carrière. Née à Londres, elle se réfugie aux États-Unis en 1940 pour fuir les bombardements du Blitz et poursuit des études d’art dramatique à New York.
En 1942, Angela Lansbury tente sa chance à Hollywood et décroche un contrat avec les studios de production MGM, qui lance ainsi sa carrière. C’est là qu’elle fait l’acquisition de sa première maison : un bungalow moderne typique des années 1950 à Santa Monica, que l’on voit ici.
Angela Lansbury, chez elle

Dans les années 1940, posséder sa propre maison est révolutionnaire pour une jeune femme. Une démarche très avant-gardiste qui le sera d’autant plus lorsqu’Angela Lansbury la partagera avec un autre expatrié et acteur, lui aussi sous contrat chez MGM, Peter Shaw. À l’époque, le couple n’est pas encore marié.
C’est finalement elle qui fait le premier pas et lui demande sa main. Ils se marient à Londres en 1949. Sur cette photo, on aperçoit la future star des classiques Disney L’Apprentie sorcière et La Belle et la Bête en train de guider Peter Shaw alors qu’il arrange les meubles chez eux.
Doris Day prend racine

L’artiste américaine Doris Day fait ses débuts en 1939 en tant que chanteuse de big band. Grâce à ses nombreux titres classés numéro un, Hollywood la remarque rapidement. Dans les premières années de sa carrière, elle enchaîne les tournées avec le groupe de jazz de Les Brown, sans jamais vraiment s’installer.
Mais après son rôle marquant dans Romance à Rio, elle choisit enfin de poser ses valises sur la côte ouest des États-Unis. Sur cette photo de 1949, on la découvre rayonnante, jouant avec ses chiens au bord de la piscine, dans le jardin de sa maison californienne.
Doris Day en famille

Doris Day joue ensuite dans de nombreux films à succès : Confidences sur l’oreiller, L’Homme qui en savait trop ou encore La Blonde du Far-West.
Elle veille toujours à consacrer du temps à sa famille, comme ici dans sa salle à manger, partageant un moment avec sa mère et son fils.
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