Derrière ces 34 marques iconiques se cachent des anecdotes étonnantes
Jeu de noms, enjeu de marques

Le nom d’une marque a-t-il une importance ? Beaucoup plus qu’on ne le croit… En effet, le succès d’une entreprise repose parfois sur un élément qui semble aussi anodin que son nom. Alors, mieux vaut faire preuve d’un peu d’inventivité.
Découvrez les histoires fascinantes qui se cachent derrière les noms des enseignes les plus célèbres au monde, de Starbucks à Spotify.
Adaptation française par Lisa Reymonet
Mitsubishi

Aujourd’hui, Mitsubishi est un célèbre fabricant de voitures, mais cela n’a pas toujours été le cas. À l’origine, en 1870, l’entreprise était spécialisée dans le transport maritime. Son nom provient du japonais, combinant deux termes : mitsu, signifiant « trois », et hishi (ou bishi), un losange.
Littéralement, « Mitsubishi » signifie donc « trois losanges », une expression souvent traduite par « trois diamants », en référence directe au symbole représenté sur le logo de la marque.
Coca-Cola

C’est en 1886, dans une pharmacie d’Atlanta, que cette célèbre boisson gazeuse a été servie pour la première fois, à seulement cinq centimes le verre. Si l’on doit sa recette originale au docteur John S. Pemberton, c’est pourtant à son comptable que revient l’idée du nom « Coca-Cola », selon le site officiel de la marque.
Lorsqu’il a imaginé le logo, ce dernier a insisté sur les deux « C » majuscules incurvés, persuadé que cela serait visuellement accrocheur dans une campagne publicitaire. Quant au nom à consonance exotique, il serait dérivé des feuilles de coca entrant à une époque dans la composition du produit et des noix de kola.
Nintendo

Cela peut surprendre, mais Nintendo existe depuis 1889. À ses débuts, la célèbre marque japonaise ne produisait, bien sûr, pas encore de jeux vidéo, mais des cartes à jouer appelées « hanafuda ». Son nom provient de l’association de deux termes japonais : nin, qui signifie « confier » ou « remettre », et tendo (également prononcé « ten-dou »), qui signifie « paradis ». On pourrait donc traduire approximativement « Nintendo » par « s’en remettre au destin ».
Pepsi

En 1893, Caleb Davis Bradham, pharmacien de profession, crée une boisson à base de sucre, d’eau, de caramel, d’huile essentielle de citron, de noix de muscade et de divers ingrédients naturels. Baptisée « Brad’s Drink », elle rencontre un succès immédiat.
Le 28 août 1898, son créateur décide toutefois de la rebaptiser « Pepsi-Cola ». Contrairement aux rumeurs circulant à l’époque, la boisson n’a jamais contenu de pepsine, cette enzyme produite par l’estomac. Le nom « Pepsi » proviendrait plutôt du terme « dyspepsie », signifiant « indigestion » : Bradham était en effet convaincu que son cola possédait des vertus digestives et permettait de lutter contre ce trouble. Enfin, en 1965, la société adopte définitivement le nom de PepsiCo.
Xerox

Il est plutôt rare pour des entrepreneurs de choisir un nom de marque commençant par la lettre X. C’est pourtant ce qu’a fait le spécialiste de l’imprimante Xerox, dont le nom est tiré d’une méthode de reproduction du nom de « xérographie », composée des termes grecs xeros, qui signifie « sec », et graphia, qui signifie « écriture ». Anciennement connue sous le nom de The Haloid Photographic Company, l’entreprise a ainsi changé de nom pour devenir Xerox, en rapport avec la technique qu’elle utilisait.
Kleenex

La marque de mouchoirs en papier la plus vendue au monde ne s’est pas toujours appelée « Kleenex ». Fondée en 1924, l’entreprise a commercialisé son tout premier produit sous le nom de « Kotex », un terme censé évoquer une texture douce, tout en restant facile à mémoriser.
C’est au moment où l’entreprise a lancé des serviettes jetables destinées au démaquillage qu’elle a adopté le nom de Kleenex. Elle cherchait alors un nom soulignant l’action nettoyante de ces lingettes — d’où « Kleen », dérivée de clean (« propre » en français) — tout en gardant le suffixe « ex », faisant clairement référence à Kotex, son premier succès commercial.
7 Up

C’est en octobre 1929 que Charles Leiper Grigg invente le 7 Up. Pourtant, près d’un siècle plus tard, personne ne connaît l’origine exacte du nom de cette boisson gazeuse citronnée. Plusieurs théories existent cependant. Selon la première, le nom de la boisson ferait référence aux sept ingrédients qui la composent. Une autre avance que son inventeur affirmait qu’elle pouvait soulager « sept lendemains de fête difficiles ». Enfin, une autre hypothèse affirme que Grigg a choisi ce nom après avoir gagné une grosse somme aux dés, grâce à une série de « sept » chanceux.
Lidl

À ses débuts en Allemagne dans les années 1930, Lidl n’était encore qu’un simple grossiste indépendant. Son fondateur, Josef Schwarz, a rapidement compris qu’il ne pourrait pas lui donner son nom, car de mauvais jeux de mots comme Schwarz Markt (« marché noir » en français) auraient tôt fait de ruiner la réputation de son entreprise. Il choisit donc de la baptiser « Lidl » en lui attribuant le patronyme d’un de ses partenaires commerciaux.
LEGO

Le nom « LEGO » est la contraction des mots danois : leg et godt, qui ensemble signifient « bien s’amuser ». Depuis sa création en 1932 par Ole Kirk Kristiansen, le groupe LEGO est passé du statut de petite menuiserie danoise à celui d’acteur incontournable de l’industrie mondiale du jouet.
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Canon

Fondée à Tokyo en 1937 sous le nom de Precision Optical Industry, la marque Canon a lancé son premier appareil photo un an plus tard, baptisé « Kwanon », en référence à la déesse bouddhiste de la miséricorde. Très vite, ce nom a été adapté au marché occidental, devenant « Canon ». Ce nom a été définitivement adopté par la société en 1947, marquant le début d’une success story internationale.
Samsung

Créée en 1938, Samsung était initialement une petite société de commerce alimentaire. Elle a changé radicalement de direction en 1969 en lançant ses premiers téléviseurs noir et blanc. Puis, à partir des années 2000, elle s’est tournée vers les smartphones, ce qui lui a permis de conquérir le marché mondial.
En coréen, « samsung » signifie « trois étoiles ». Son créateur, Lee Byung-Chull, a choisi ce nom avec l’espoir qu’un jour l’entreprise brille par son succès éternel. Le nombre trois, quant à lui, est un symbole de puissance en Corée du Sud.
IKEA

Connu aujourd’hui dans le monde entier pour ses meubles en kit et son design accessible, le géant IKEA a vu le jour à Almhult, dans le sud de la Suède, en 1943. L’entreprise a été créée à Älmhult, dans le sud de la Suède, en 1943, et son nom provient directement des initiales de son fondateur, Ingvar Kamprad, complétées par celles d’Elmtaryd et d’Agunnaryd, la ferme et le village où il a grandi. Simple et efficace, à l’image des produits proposés par la marque.
Sony

Créée par Ibuka Masaru et Morita Akio en 1946, Sony est aujourd’hui une référence mondiale dans le secteur de l’électronique. Pourtant, à ses débuts, l’entreprise ne produisait que des cuiseurs à riz. Elle s’est ensuite tournée vers les postes de radio dans les années 1950, avant de diversifier sa gamme de produits durant la décennie suivante.
Dérivé du latin sonus, signifiant « son », ce nom a été choisi pour son potentiel marketing à l’international.
Aldi

L’enseigne Aldi a été créée en 1946 dans la ville allemande d’Essen par les frères Karl et Theo Albrecht, qui avaient alors reprit l’épicerie de leur mère. À partir de ce petit commerce, ils ont fondé l’une des plus grandes chaînes de distribution d’Allemagne, devenue célèbre grâce à ses prix cassés.
Le nom « Aldi » est simplement composé des deux premières lettres d’Albrecht (le nom de ses fondateurs), suivies de « di » pour « discount ».
adidas

Il existe un mythe populaire tenace autour du nom de cette marque créée en 1949, qui voudrait qu’« adidas » vienne de l’acronyme de All Day I Dream About Sports (« Tous les jours, je rêve de sport » en français). Cependant, la vérité est beaucoup plus prosaïque que cela. Il s’agit en fait de la contraction du prénom et du nom de son créateur, Adolf Dassler.
Visa

Lancée en 1958 par la Bank of America sous le nom de « Bank Americard », Visa a rapidement dû changer d’identité en raison de son expansion à l’international.
En 1970, l’entreprise a alors adopté « Visa », un terme simple, universel et facile à prononcer, qui rappelait l’idée de liberté de mouvement et évoquait directement la possibilité d’utiliser cette carte partout dans le monde.
Taco Bell

Vu le nom et le logo de cette chaîne de restauration rapide, on pourrait s’attendre à ce que son histoire ait quelque chose à voir avec des cloches, mais il n’en est rien ! La marque vient de la combinaison de « Bell’s Drive-in » et de « Taco Tia », deux restaurants ouverts en 1954 à San Bernardino (Californie) par Graham Bell.
C’est lors de l’ouverture de son troisième restaurant en 1962 à Downey, dans le même État américain, que l’entrepreneur a eu l’idée de le nommer « Taco Bell ». L’appellation a été franchisée deux ans plus tard, ce qui a permis à l’enseigne de se développer.
Nike

Fondée en 1964 par Phil Knight et Bill Bowerman sous le nom de Blue Ribbon Sports, l’entreprise ne jouait au départ qu’un rôle de distributeur. Il n’a cependant pas fallu attendre longtemps pour que les deux associés décident de fabriquer leurs propres chaussures. En juin 1971, la firme était prête à envoyer ses premières marchandises, mais un nouveau nom devait impérativement être trouvé avant cela !
Le jour de l’expédition, vers 7 h du matin, un collègue leur a proposé « Nike », en hommage à la déesse grecque de la victoire. Même si Knight et Bowerman n’étaient pas totalement convaincus, ils ont accepté ce nom, faute d'avoir trouvé mieux.
Subway

En 1965, Fred DeLuca emprunte de l’argent à son ami Peter Buck pour ouvrir son propre restaurant. En signe de reconnaissance, il décide de le baptiser « Pete’s Super Submarines » en référence aux submarines, ces sandwichs longs servis dans un pain de type baguette.
Très vite, le nom est raccourci en « Pete’s Submarines » à mesure que l’enseigne se développe. Mais un problème surgit dans les spots publicitaires à la radio : les auditeurs comprennent « pizza marines » et non Pete’s Super Submarines. Pour éviter toute confusion, la marque est simplifiée une première fois en « Pete’s Subs », puis, deux ans plus tard, elle évolue en « Pete Subway ». C’est finalement en 1972 que la chaîne adopte le nom sous lequel on la connaît aujourd’hui.
Intel

Intel, géant américain des circuits informatiques, voit le jour en 1968 sous l’impulsion des ingénieurs Robert Noyce et Gordon Moore, avec le soutien du financier Arthur Rock. Son nom, issu de la contraction de integrated electronics (« électronique intégrée »), était à l’époque déjà utilisé par une autre entreprise, Intelco. Pour l’adopter, les fondateurs ont donc dû en acquérir les droits.
Virgin

Un jour de 1970, Richard Branson et ses amis, alors adolescents, s’amusent à imaginer le nom qu’ils donneraient à leur maison de disques. Parmi les idées lancées, « Slipped Disc » retient leur attention. Mais, comme Branson le fera plus tard remarquer avec humour : « Difficile d’adapter cette marque à d’autres domaines… Slipped Disc Airlines, ça ne sonne quand même pas très bien ! »
Finalement, le groupe opte pour « Virgin », un clin d’œil à leur totale inexpérience dans le monde des affaires. Un manque d’expertise qui ne les empêchera pas de bâtir un empire dans des secteurs aussi variés que la musique, l’aviation ou encore le tourisme spatial.
Starbucks

Alors qu’il parle de son entreprise à ses amis, Gordon Bowker leur annonce qu’il souhaite la baptiser « Cargo House ». Cependant, Terry Heckler l’en dissuade, estimant que les noms commençant par « St » ont plus de succès. À ces mots, un autre ami du groupe sort une vieille carte minière pour trouver l’inspiration : il découvre alors la ville de Starbo.
Ce nom rappelle immédiatement à Bowker un personnage du roman Moby Dick d’Herman Melville : l’officier Starbuck. C’est ainsi que nait la marque légendaire Starbucks, dont le premier café a ouvert ses portes dans le quartier de Pike Place, à Seattle, en 1971.
Zara

En 1975, à La Corogne, en Espagne, Amancio Ortega ouvre son premier magasin sous le nom de Zara, bien que son entreprise soit déjà active dans la fabrication textile depuis 1963. À l’origine, il voulait l’appeler « Zorba », en hommage au film Zorba le Grec (1964), mais il découvre rapidement qu’un bar voisin porte déjà ce nom.
Plutôt que de repartir de zéro, il décide de réagencer les lettres de son enseigne déjà fabriquée et d’y ajouter un A, donnant naissance à « Zara ».
Microsoft

Quand l’entreprise voit le jour en 1975, son nom s’impose naturellement : une contraction de « microcomputer » et « software », qui s’écrivait à l’origine « Micro-Soft ».
Des années plus tard, en 1995, Bill Gates confiait au magazine Forbes : « Nous ne voulions pas d’un nom comme Allen & Gates, ça faisait trop cabinet d’avocats. En réalité, le nom était déjà décidé avant même le lancement de l’entreprise ».
Apple

En 1976, après une visite dans une pommeraie, Steve Jobs aurait eu l’idée du nom Apple, qu’il trouvait « amusant, convaincant et rassurant », selon une biographie qui lui est consacrée.
Un autre avantage stratégique : un nom commençant par la lettre « A », parfait pour apparaître en tête des listes alphabétiques et bénéficier d’une meilleure visibilité en ligne. Même s’ils ont envisagé de nombreuses autres alternatives, Jobs et son équipe revenaient toujours à Apple. Le choix s’est donc imposé naturellement.
Adobe

Contrairement à une idée reçue, l’éditeur de logiciels Adobe Systems, fondé en 1982, ne tire pas son nom du matériau de l’adobe, ce matériau de construction composé de sable, d’argile sablonneuse et de paille, mais d’un ruisseau traversant Los Altos Hills, Los Altos et Palo Alto, en Californie. Vivant à proximité, les deux fondateurs ont tout simplement décidé de baptiser leur entreprise du nom de ce cours d’eau.
Amazon

À l’origine, Jeff Bezos a enregistré sa société sous le nom de Cadabra, Inc. Mais, lorsqu’au cours d’une discussion avec son avocat, ce dernier a compris « Cadaver » (« cadavre » en français), Bezos a su qu’il devait le changer. Puis, en 1994, il fonde Amazon, une entreprise dont le nom se voulait « exotique et différent », à l’image de ses activités.
Et le choix d’« Amazon » n’est pas dû au hasard : le fleuve Amazone est l’un des plus grands du monde, ce qui en dit long sur les ambitions du fondateur de la firme, dès le départ. Et d’un point de vue stratégique, choisir un nom qui commençait par la lettre « A » plaçait la société en haut des listes alphabétiques, stratégie de référencement populaire aux débuts d’Internet.
Yahoo!

À sa création en 1994, Yahoo! s’appelait Jerry’s Guide to the World Wide Web, en hommage à son cofondateur Jerry Yang. Mais avec son associé David Filo, il lui trouve vite un nouveau nom : Yahoo!, acronyme de Yet Another Hierarchical Officious Oracle.
Le terme « Hierarchical » soulignait l’organisation du site en sous-catégories, « Oracle » évoquait une source de savoir, et « Officious » faisait référence aux employés de bureau qui l’utilisaient au quotidien.
eBay

Le nom « eBay » vient du domaine que son fondateur, Pierre Omidyar, utilisait pour son site web. À l’origine, l’entreprise, créée en 1995, s’appelait Echo Bay, et eBay AuctionWeb n’était qu’une section de son site web, hébergée sur ebay.com.
Face au succès rapide de la plateforme, Omidyar a décidé en 1997 de rebaptiser à la fois AuctionWeb et sa société sous le nom de eBay, déjà largement adopté par les utilisateurs.

À la fin des années 1990, Larry Page et Sergey Brin travaillent sur un moteur de recherche baptisé BackRub. Trouvant ce nom peu accrocheur, ils demandent à leur ami Sean Anderson de les aider à en trouver un plus percutant. Celui-ci propose alors « Googolplex », qui désigne 10 à la puissance googol, c’est-à-dire 10 à la puissance de 10 à la puissance de 100.
Page apprécie la sonorité de « Googol », mais, en recherchant la disponibilité du domaine, Anderson fait une faute de frappe et entre google.com. Finalement, ce nom séduit les fondateurs, et en août 1998, Google voit officiellement le jour.
PayPal

La célèbre plateforme de paiement en ligne voit le jour en 1998, lorsque Max Levchin et Peter Thiel lancent Field Link, une société spécialisée dans le transfert d’argent par téléphone portable. Rapidement rebaptisée Confinity, l’entreprise développe un service de paiement en ligne baptisé PayPal, contraction de « Paying your pal » (« payez votre ami » en français).
Environ un an après son lancement, Confinity fusionne avec la société derrière le réseau social Twitter, aujourd’hui connu sous le nom de X suite à son rachat par Elon Musk. La décision est alors prise de se concentrer exclusivement sur les transferts d’argent en ligne, et Confinity adopte définitivement le nom de PayPal.
ASOS

En 1999, deux Britanniques créent AsSeenOnScreen, une enseigne de mode dont l’activité consistait à reproduire les vêtements portés par des célébrités. Et lorsqu’en 2001, le site Web de la marque acquiert l’URL www.asos.com, son ancien nom est progressivement délaissé au profit du nouveau, ASOS.
En 2003, l’utilisation de l’acronyme fait consensus au sein de la clientèle de la marque, et ASOS remplace officiellement AsSeenOnScreen sur les documents juridiques de l’entreprise.
Spotify

Spotify est aujourd’hui le plus grand service de streaming musical par abonnement. Mais d’où vient réellement son nom ?
Daniel Ek, l’un de ses cofondateurs, a révélé l’anecdote sur Quora. En avril 2006, alors qu’il brainstorme avec son associé Martin Lorentzon, ce dernier propose un nom qu'Ek comprend mal. Il croit entendre « Spotify » et trouve que ça sonne bien. Quelques minutes plus tard, le domaine est enregistré.
Trouvant l’histoire derrière ce nom un peu bancale, les deux entrepreneurs finissent par inventer une explication plus crédible : « Spotify » viendrait de la fusion des mots spot (« trouver ») et identify (« identifier »).

Avant de devenir Instagram, l’application de Kevin Systrom s’appelait Burbn, du nom de sa boisson préférée. Mais alors que le partage de photos prenait le pas sur celui des localisations, un nouveau nom s’est imposé : Instagram, contraction de « instant camera » (« appareil photo instantané ») et de « telegram » (« télégramme »).
Court, facile à retenir et à prononcer, il reflétait parfaitement l’esprit de l’application.
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